Graveyard, à l’image des Rival Sons et autre Blues Pills, fait partie de cette vague de groupes rock rétro que l’on a vu déferler au cours de ces dernières années. Des musiciens qui font revivre le son analogique et authentique qui fait aujourd’hui la marque de fabrique des années soixante et soixante-dix, et pourtant, lorsque l’on interroge le chanteur Joakim Nilsson, il n’y a rien de prémédité dans cette démarche : « C’est juste de la batterie et des guitares [rires] ! Nous nous contentons de jouer. Il n’y a rien de plus, vraiment. C’est peut-être parce que nous n’utilisons pas trop d’effets, pas trop de distorsion, juste l’overdrive de l’ampli. Lorsque tu écoutes d’autres groupes, ils ont beaucoup de distorsion et de traitement dans le son. Notre son est peut-être plus organique, je ne sais pas. Nous n’avons jamais essayé de sonner comme dans les années soixante-dix ou soixante. Nous voulons juste jouer de la musique et nous n’utilisons que des guitares, une batterie et une basse, comme tous les groupes de rock. Pour une raison ou une autre, notre musique sonne davantage comme dans les années soixante-dix, et je ne sais pas pourquoi ! »
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