Paul O’Neill est un loquace. Jugez plutôt : la première réponse dans l’interview qui suit aura duré pas moins de vingt minutes ! Le tout avec des références culturelles à tout va et une passion évidente et débordante pour le grand art. Et quelque part cette démesure est celle que l’on retrouve totalement dans son œuvre avec Trans-Siberian Orchestra qui comporte « des musiciens du monde entier » et « 24 chanteurs lead », « compte pas moins de 328 personnes rien que dans l’équipe », avec lequel il élabore des opéra rock riches, dont une trilogie de Noël, et qui parle à un public très large. Ses références sont Tchaïkovski, Dickens, Hugo, etc. Et tout ceci, avec les spectacles « larger than life » – comme on dit outre atlantique – proposés, en a fait un des plus gros vendeurs de billets aux États-Unis.
Un succès incroyable qui n’a pas encore tout à fait atteint le Vieux Continent, puisque Trans-Siberian Orchestra, qui a commencé sa carrière en 1993, y a mis les pieds pour la première fois il y a seulement trois ans et n’y revient que cette année, avec une première date à Paris, à l’Olympia, le 14 janvier. Mais laissons Paul O’Neill nous expliquer tout ça de long en large, en travers et de digression en digression. C’était aussi l’occasion de revenir sur le sort de Savatage, groupe de grand talent dans lequel il officie en homme de l’ombre et dont les activités sont à l’arrêt depuis 2002.
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