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News Express   

Nico Elgstrand (ENTOMBED A.D.) remplacera Anders Nyström sur les prochains concerts de KATATONIA


Le guitariste de KATATONIA Anders Nyström sera remplacé par Nico Elgstrand d’ENTOMBED A.D. pour les prochains concerts de la tournée à venir, dont les dates françaises de février. Le musicien a expliqué qu’il ne pourrait pas partir avec ses collègues en raison de soucis familiaux. En savoir plus…



Interview   

Katatonia : en l’absence de repères


En 2020, sortait au pire moment qu’on pouvait imaginer City Burials, le onzième album de Katatonia. Pas de tournée pour le promouvoir. Comme tant d’autres, ils se sont essayés à l’exercice du livestream. Et comme tant d’autres, voyant le temps devenir un peu long, ils se sont rapidement attelés à un nouvel album – à vrai dire, deux nouveaux albums dans le cas spécifique de Jonas Renkse et Anders Nydström, puis qu’ils ont sorti il y a quelques mois Survival Of The Sickest avec Bloodbath. Au vu de la proximité temporelle entre les deux disques, on ne s’étonnera pas de leur connexion artistique, si ce n’est que Sky Void Of Stars appuie un peu plus sur la fibre heavy des guitares.

Ceci dit, malgré des nuances, variantes et quelques surprises, cela fait longtemps que Katatonia n’a plus effectué de virage stylistique majeur. Alors que leur premier album Dance Of December Souls va bientôt célébrer ses trente ans, force est de constater qu’ils ne sont pas prêts à suivre l’exemple de Paradise Lost – qui était pourtant une influence importante à leurs débuts, comme ils l’avouent eux-mêmes – en opérant un retour à leurs racines death metal. Non, Katatonia reste sur sa lancée, qui remonte au tournant Discouraged Ones en 1998, et poursuit sa douce et constante évolution sans jamais trahir cette élégante et profonde mélancolie qui fait sa marque de fabrique. Nous discutons de tout ceci avec les deux compères inséparables et membres fondateurs, Jonas et Anders.

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Interview   

Katatonia : une étincelle dans le noir


En décembre 2017, à l’issue de la tournée en soutient de l’album The Fall Of Hearts, Katatonia annonçait faire une pause « de courte durée » pour « prendre le temps de réévaluer ce que le futur peut réserver au groupe ». Le chanteur Jonas Renkse et le guitariste Anders Nyström ont formé le groupe il y a bientôt trente ans alors qu’ils étaient adolescents. Ils n’ont donc connu que ça : on peut comprendre qu’arrive un moment où une prise de recul est nécessaire pour savoir si oui ou non, la flamme est toujours présente.

La réponse s’est vite imposée au groupe, comme une évidence : oui. A vrai dire, dans le cas de Jonas Renkse, la pause n’a été que partielle, puisqu’il n’a jamais cessé de composer, permettant à Katatonia de revenir cette année avec un onzième album, City Burials. Si celui-ci s’inscrit dans l’ère du « Dead End King » débutée en 2012, il n’en apporte pas moins sa propre pierre à l’édifice discographique de Katatonia avec quelques surprises et une belle diversité musicale, sous le signe du souvenir et de la nostalgie.

Nous nous sommes entretenus avec Jonas Renkse pour qu’il nous parle de tout cela.

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Interview   

Le parfum lugubre de Katatonia


Katatonia by Ester SegarraJonas Renkse et Anders Nyström, les deux têtes pensantes de Katatonia, respectivement chanteur et guitariste, sont des débrouillards qui savent toujours rebondir, avec l’amour de leur art pour moteur. Les Suédois ont vécu un énième changement de line-up avec les départs simultanés du batteur Daniel Liljekvist et du guitariste Per Eriksson. Certainement pas déstabilisés, ils en ont profité pour poursuivre l’expérience de Dethroned And Uncrowned (2012) via une tournée acoustique, menant à la prestation dans le magnifique cadre de l’Union Chapel de Londres, éclairé de bougies, immortalisé dans le CD/DVD Sanctitude (2013).

Et s’ils savent si bien rebondir, c’est peut-être parce qu’ils ont depuis longtemps pris l’habitude de ces changements qui ont émaillé la carrière du groupe mais aussi de vivre sommairement, donnant tout à Katatonia malgré le peu de retombées financières. Ils ont appris par la force des choses, depuis leurs premiers pas dans l’underground du début des années 90 dont il gardent une certaine nostalgie, la débrouille et à s’adapter. C’est ainsi que Katatonia n’a pas perdu ce qui fait son essence : sa force émotionnelle. En atteste son nouvel album The Fall Of Hearts, plus travaillé que jamais, un brin plus progressif, mais à la patte indéniablement reconnaissable.

Nous nous sommes longuement entretenus avec Jonas et Anders pour nous parler de cet opus et ces changements dans les rangs de la formation, mais aussi les difficultés que peut rencontrer un tel groupe ou la nostalgie d’un temps révolu. Nous faisons également le point à la fin sur leurs projets Bloodbath, qui a accueilli en 2014 son nouveau chanteur en la personne de Nick Holmes de Paradise Lost, et Wisdom Of Crowds.

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Interview   

Bloodbath : Nick Holmes replonge


« Je n’aime pas être trop prévisible » déclare Nick Holmes dans l’entretien ci-dessous. Ne pas être trop prévisible, il l’a prouvé, 25 ans durant, au cours de la riche et classieuse carrière du groupe de metal doom/gothique Paradise Lost, surprenant son monde avec des revirements de style, toujours réussis et sans jamais se trahir. Et le chanteur britannique le prouve une fois encore avec le mini coup de théâtre qu’a représenté son intégration surprise dans le super-groupe de death metal suédois Bloodbath – aux côtés de membres de Katatonia et Opeth – pour succéder au poids lourd Mikael Åkerfeldt (Opeth). En déterrant son alter égo « Old Nick », le chanteur s’offre ainsi une occasion en or de revenir sur ses pas, à ses amours d’adolescent demeurés profondément enfouis en lui.

L’occasion est aussi pour nous de revenir sur sa relation avec le death metal, sur ses débuts avec Paradise Lost, sur ses motivations qui l’ont poussé à ressortir les growls de ses entrailles… En parallèle, le guitariste Anders « Blakkheim » Nyström, fan du chanteur et de Paradise Lost depuis toujours, amoureux du death metal suédois de la vieille école, offre quant à lui l’autre versant de l’histoire, pour un tour d’horizon des plus complet sur ce Grand Morbid Funeral, le nouvel album de Bloodbath.

A noter, en dernière partie d’entretien, des révélations sur le prochain album de Paradise Lost (si vous n’aviez pas suivi), des réactions sur l’expérience live du groupe anglais en compagnie de l’Orchestre Philharmonique de Plovdiv et un point sur l’avancement du prochain album de Katatonia.

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Interviews   

Bloodbath: Nick Holmes plunges back


“I don’t like being too predictable”, says Nick Holmes in the following interview. And he never was, not once, in the 25 years he’s spent with Paradise Lost. The doom/gothic metal band’s musical U-turns have often surprised the audience over the years, but they always remained true to themselves and the changes were always successful. So it was basically just another surprise to learn he’d joined Swedish death metal supergroup Bloodbath, alongside several members of Katatonia and Opeth, to replace heavyweight singer Mikael Åkerfeldt (Opeth). For the vocalist, it was a perfect opportunity to slip back into his “Old Nick” persona, retrace his steps and revive his teenage passions, which never really left him.

For us, it’s also a good opportunity to talk about his relationship with death metal, his beginnings with Paradise Lost, and what drove him to try his voice at growls again. As a counterpoint to his interview, guitarist Anders “Blakkheim” Nyström, a long-time fan of the singer and of Paradise Lost and a lover of old school Swedish death metal, gives us the other side of the story, for an even more complete understanding of Grand Morbid Funeral, Bloodbath’s new album.

The last part of the interview contains a few revelations about Paradise Lost’s upcoming album, comments on the band’s live experience with the Plovdiv Philharmonic Orchestra, and a report on the progress of Katatonia’s next album.

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Nouvelles Du Front   

Rejoignez le front de libération des artistes


Voilà encore un album qui fait couler beaucoup d’encre et ce n’est pas terminé. La sortie de Illud Divinum Insanus, le nouvel album de Morbid Angel, est un véritable événement cette année. Déjà parce que cela faisait un moment que l’album d’un des pionniers du death metal floridien était attendu. Pensez-y donc : le premier depuis le retour du charismatique David Vincent, avec sa voix jouissive, son talent… Sans compter que Heretic, sorti il y a huit ans, en avait laissé plus d’un sur sa faim à cause de compositions que certains considéraient comme bâclées.

Le moins que l’on puisse dire est que cette critique ne tient plus sur un Illud Divinum Insanus travaillé, inspiré et, surtout, sur lequel on sent un groupe qui a pris plaisir à se laisser aller à de nouvelles envies. En cela aussi cet album est un événement car il représente ce que le metal a de meilleur à offrir. La musique peut ne pas plaire – après tout la nouveauté n’est pas toujours une réussite pour tout le monde – mais la démarche qui a conduit à son existence est à défendre corps et âmes. « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire » disait l’autre (l’autre, c’est Voltaire paraît-il), une citation que l’on peut facilement tourner à l’avantage de la création artistique. Car, après tout, c’est ça, dans le fond, l’esprit du metal : aller à contre-courant et briser les codes qui nous sont de plus en plus imposés, quitte a briser les codes que nous nous imposons nous-mêmes.

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Interviews   

Katatonia Between Night And Day


Try to imagine: you’re offered to interview a legend of the extreme scene, Anders Nyström, right before Katatonia’s concert. How do you react? You’re happy, you’re excited, of course! Now, say this interview is to take place in some sort of bike garage. Still interested? Ah, now I can tell you’re hesitating… Long story short, this interview did take place in an annex of Villeurbanne’s CCO. Unlikely places are often well-suited for extraordinary meetings.

Available and agreeable, Anders Nyström, together with Daniel, the band’s drummer, nicely agreed to answer the questions of our special correspondent. Now, when will Katatonia sponsor the Tour de France?



Interview   

Katatonia entre jour et nuit


Imaginez-vous : on vous propose une interview avec une légende de la scène extrême, Anders Nyström, juste avant le concert de Katatonia, quelle serait votre réaction ? La joie, l’excitation, bien entendu ! Et si on vous proposait cette interview dans une sorte de garage à vélo, seriez-vous toujours partant ? Je vous sens déjà plus hésitant, là… C’est donc dans une annexe du CCO de Villeurbanne qu’a eu lieu cette rencontre. Les lieux improbables se prêtent bien aux rencontres extraordinaires.

Disponible et aimable, Anders Nyström, accompagné de Daniel, le batteur du groupe, a gentiment répondu aux questions de votre envoyée spéciale. A quand Katatonia sponsor du Tour de France ?



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    Metallica @ Saint-Denis
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