Après des années de remous, depuis 2010, Death Angel est en vitesse de croisière. Cela fait maintenant quatre albums que le groupe de la Bay Area évolue avec le même line-up (dépassant ainsi la longévité du line-up dit « classique » des trois premiers opus), avec le même compositeur principal, avec le même producteur… Cela n’étonnera personne, dans ces conditions, que Death Angel ait gagné en constance et en cohérence, même si certains vieux fans déploreront qu’ils n’ont plus la folie artistique du temps où le processus de composition était tiraillé entre plusieurs têtes.
Reste que cette cohérence, Death Angel l’entérine avec Humanicide, dernier volet d’une trilogie initiée avec Relentless Retribution (2010), poursuivie avec The Dream Calls For Blood (2013), puis ponctuellement brisée par The Evil Divide (2016). La meute de loups est donc de retour pour reprendre ses droits. Parmi eux, le chanteur Mark Osegueda, qui répond ci-après à nos questions et revient avec nous sur l’évolution du groupe avec lequel il met un point d’honneur à « repousser les limites du thrash ». Surtout, en contraste avec un monde qui se délite de plus en plus, déplorant l’influence néfaste des puissants, il loue l’unité régnant au sein de la communauté metal et le pouvoir cathartique de la musique.
SCAR SYMMETRY : les détails du nouvel album The Singularity (Phase II – Xenotaph) ; clip vidéo de la chanson « Scorched Quadrant »
DEF LEPPARD dévoile le clip vidéo de la version symphonique de la chanson « Animal »
Satan Jokers : mélomane mégalomane
Les applications smartphones de Radio Metal (version android et iPhone) sont opérationnelles
Hellfest 2023 : le running-order est disponible
RISE OF THE NORTHSTAR dévoile le clip vidéo de la nouvelle chanson « Showdown »
MASS HYSTERIA dévoile la lyric vidéo de la nouvelle chanson « Mass Veritas »
NERVOSA annonce son nouveau line-up et dévoile le clip vidéo de la chanson « Endless Ambition »
La programmation de l’Omega Ω Sound Fest 2023 est connue
AVALAND dévoile le clip vidéo de la nouvelle chanson « Kingslayer »