A trente-cinq ans de carrière dans le thrash, avec certes ses quelques écarts pas toujours compris, Kreator réussit l’exploit de s’offrir un nouvel élan à la fois créatif et populaire, comme a pu le démontrer l’album Phantom Antichrist et le cycle qui s’en est suivi. Alors il n’est pas étonnant de voir Mille Petrozza et sa bande revenir plus confiants que jamais, conservant sa dynamique mais ayant également pris le temps qu’il faut au milieu des tournées incessantes pour ne pas sortir un album à la hâte, mais au contraire, au moins maintenir la barre au niveau où ils l’avaient laissée.
Les sources d’inspirations de la tête pensante du groupe sont d’ailleurs loin d’être taries, comme le prouve ce nouvel album Gods Of Violence. Encore plus peaufiné, plus orchestré, basé sur les liens qu’entretiennent religions et violence, depuis la nuit des temps. Petrozza voulait faire un album qui puisse compter, et tout indique qu’il y est parvenu, même s’il a la modestie de laisser ce jugement aux autres et le temps faire son oeuvre.
Nous avons rencontré le chanteur, guitariste, et principal compositeur du groupe, afin de parler de ce nouvel album et de ses influences, avec un détour par la pop et les quelques expérimentations qui ont pu ponctuer la discographie du groupe, mais également des invités qui sont à l’oeuvre dans cet opus, de Dagobert à Fleshgod Apocalypse.
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