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Interview   

Kreator : de la haine à l’amour


Certes, Kreator prend son temps entre ses albums, mais ce n’est que pour mieux marquer le coup quand ceux-ci sortent. Difficile de ne pas reconnaître que le groupe allemand est depuis deux décennies dans une dynamique forte que rien ne semble pouvoir arrêter, pas même une pandémie ou un changement de bassiste. Fait notable : même ses œuvres un temps controversées semblent être redécouvertes et générer un regain d’intérêt, à l’image d’Endorama (1999) sur lequel Mille Petrozza a exprimé tout son amour pour les musiques gothiques et qui s’est vu récemment réédité.

Plus encore, on se rend compte désormais à quel point, même après avoir largement renoué avec les racines du groupe, ce genre d’« expérience » a enrichi la palette sonore de Kreator. Pour preuve le nouvel album Hate Über Alles : si on retrouve le thrash hymnique, brutal et sans concession qu’on adore chez les Allemands ainsi que les thématiques chères à Petrozza, tantôt en forme de sonnette d’alarme, tantôt galvanisantes, le quinzième opus de Kreator ne manque pas de surprises. La bande-son idéale pour se rendre compte du chemin parcouru et célébrer quarante ans de carrière pour le groupe qui a commencé en 1982 sous le nom de Metal Militia… Nous discutons de tout cela, ci-après, avec la tête pensante de Kreator.

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Interview   

Amahiru : quand l’Ouest rencontre l’Est


Frédéric Leclercq est insatiable. A peine intégré depuis un an à Kreator, après avoir sorti son ultime album avec Dragonforce et avec qui il prépare le très attendu successeur de Gods Of Violence (2017), le voilà de retour à la fois sur le nouvel album de Loudblast et avec un nouveau projet du nom d’Amahiru en collaboration avec la guitariste Saki (Mary’s Blood), tandis qu’il commence à plancher sur le troisième album de Sinsaenum. Il n’arrête pas et il aime ça.

Mais c’est avant tout pour parler d’Amahiru que nous avons échangé ci-après. Un projet orienté metal mélodique intriguant entre Occident et Orient, qui rétablit une forme d’équilibre dans la carrière du guitariste-bassiste-compsiteur et auquel a participé certains poids lourds de la scène – outre Frédéric et Saki, on retrouve le claviériste Coen Janssen (Epica), les batteurs Mike Heller (Fear Factory) et le regretté Sean Reinert (Death, Cynic), la chanteuse invitée Elize Ryd (Amaranthe) et le chanteur Archie Wilson dont on découvre le grand talent.

Frédéric Leclercq revient donc sur la conception de ce premier disque qui ouvre grand le champ des possibles, partageant avec nous sa passion pour le pays du Soleil-Levant, non sans faire le point sur ses projets en cours.

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Interview   

Kreator : Frédéric Leclercq dans son élément


Depuis l’époque Heavenly, où on a commencé à entendre parler de lui, Frédéric Leclercq a fait un chemin impressionnant : il intègre Dragonforce fin 2005, monte son projet de death metal avec l’ex-Slipknot Joey Jordison en 2013 et aujourd’hui intègre l’une des légendes du thrash allemand, Kreator, sans parler des multiples projets et expériences live auxquels il a participé au fil des années. Frédéric, grâce non seulement à ses qualités de musicien et d’adaptation, mais aussi à sa sympathie toute naturelle, est devenu un de ces (rares) Français à avoir très largement implanté sa carrière en dehors des frontières hexagonales.

Suite à l’annonce il y a un peu moins de deux semaines de son intégration au poste de bassiste dans le groupe de Mille Petrozza, nous avons pris notre téléphone pour joindre Frédéric, afin qu’il nous raconte tout : l’opportunité qui s’est présentée à lui, son rapport à Kreator, ses challenges à venir… Mais aussi le stade de ras-le-bol profond auquel il était arrivé face à l’esthétique de Dragonforce qui ne lui correspondait pas du tout. Et de façon plus générale, nous en avons profité pour revenir sur son parcours pour mieux comprendre qui est Frédéric Leclercq, le guitariste devenu bassiste, l’artiste aux goûts polyvalents ou encore l’homme aux qualités sociales indéniables.

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Interview   

Kreator : Dieux du thrash


A trente-cinq ans de carrière dans le thrash, avec certes ses quelques écarts pas toujours compris, Kreator réussit l’exploit de s’offrir un nouvel élan à la fois créatif et populaire, comme a pu le démontrer l’album Phantom Antichrist et le cycle qui s’en est suivi. Alors il n’est pas étonnant de voir Mille Petrozza et sa bande revenir plus confiants que jamais, conservant sa dynamique mais ayant également pris le temps qu’il faut au milieu des tournées incessantes pour ne pas sortir un album à la hâte, mais au contraire, au moins maintenir la barre au niveau où ils l’avaient laissée.

Les sources d’inspirations de la tête pensante du groupe sont d’ailleurs loin d’être taries, comme le prouve ce nouvel album Gods Of Violence. Encore plus peaufiné, plus orchestré, basé sur les liens qu’entretiennent religions et violence, depuis la nuit des temps. Petrozza voulait faire un album qui puisse compter, et tout indique qu’il y est parvenu, même s’il a la modestie de laisser ce jugement aux autres et le temps faire son oeuvre.

Nous avons rencontré le chanteur, guitariste, et principal compositeur du groupe, afin de parler de ce nouvel album et de ses influences, avec un détour par la pop et les quelques expérimentations qui ont pu ponctuer la discographie du groupe, mais également des invités qui sont à l’oeuvre dans cet opus, de Dagobert à Fleshgod Apocalypse.

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News Express    Non classé   

Le nouvel album de KREATOR pourrait sortir en janvier 2017


Dans une récente interview accordée à Metal Maniac, le chanteur/guitariste de KREATOR Mille Petrozza a précisé que le prochain album du groupe, successeur de Phantom Antichrist (2012), pourrait sortir en janvier 2017. Voir sa déclaration…



Interviews   

KREATOR: MORE THAN JUST THRASH


Mille Petrozza doesn’t like to get bored. Not on one album, not from one album to the other – hence a constant search for diversity and, without going so far as spectacular renewal, novelty on Kreator’s records. All the more so since Kreator is Mille’s only outlet. However, don’t think this all stems from a grand conceptualization of music: Mill insists that the band doesn’t overthink their albums, but rather do what the song demands.

We asked him about the band’s new album, Phantom Antichrist, a powerful, diverse, melodic and epic thrash record, which even offers a few Gothic moments in the spirit of Endorama. Among other subjects, we also asked him his opinion on the financial crisis and, on a more musical level, his relation with the Big Four.

Interview…



Interview   

Kreator : plus que du thrash


Mille Petrozza n’aime pas s’ennuyer. Ni sur un album, ni d’albums en albums, d’où une constante recherche de diversité et – sans aller jusqu’à parler de renouvellement spectaculaire – de nouveauté sur les disques de Kreator. D’autant que Kreator est l’unique exutoire de Mille Petrozza. N’allez pas y voir pour autant une grande conceptualisation de la musique, Mille insiste sur le fait que le groupe ne réfléchit pas excessivement à ses albums, mais fait ce que la chanson nécessite.

Nous avons abordé avec lui le nouvel album Phantom Antichrist, un disque de thrash puissant, diversifié, mélodique et épique proposant, ponctuellement, quelques brèves réminiscences gothiques de l’album Endorama. Entre autres sujets, nous avons également discuté de ses opinions à propos de la crise financière et, sur un sujet plus musical, de sa relation avec le Big Four.

Interview…



Interviews   

Coroner : we agreed to meet up in a year’s time…


Precisely one year ago, Hellfest festival goers discovered the Coroner banner announcing that the band would be reforming for the 2011 edition of the festival. In fact we had the opportunity to speak with guitarist of the trio, Tommy Vetterli, who still seemed quite sceptic about the future of the band. He admitted having doubts about whether the band would be up to the challenge, even considering withdrawing if they were unsure of themselves, making an album was also not on their mind, etc.

A year later, on the 19th of June 2011, Coroner made it to the stage and performed an outstanding show for the Hellfest crowd. According to this, we simply had to speak with Tommy again in order to find out about his outlook today, see what future perspectives Coroner are considering and about many other things.

Here is the report of our conversation.



Interview   

Coroner : on s’était donné rendez-vous dans un an…


Il y a un an, presque jour pour jour, les festivaliers du Hellfest découvraient une banderole annonçant le show de reformation de Coroner pour l’édition 2011. Nous avions eu d’ailleurs l’occasion de nous entretenir avec Tommy Vetterli, guitariste du trio, qui lui même mettait encore un gros point d’interrogation sur l’avenir du groupe. Il avouait ne pas être sûr que le groupe allait être capable d’assurer, envisageant même de se rétracter s’ils n’étaient pas sûr d’eux, se fermait à l’idée de réaliser un album, etc.

Un an après, le samedi 19 juin 2011, Coroner monte sur scène et offre au public du Hellfest un show exceptionnel. Nous ne pouvions donc pas manquer de nous entretenir à nouveau avec Tommy, ce afin d’avoir son ressenti aujourd’hui, connaître les perspectives envisagées par Coroner et bien d’autres choses.

Cliquez ici pour lire le compte-rendu de cette petite conversation.



Vide(o)rdure   

Mille Petrozza s’en est-il vraiment remis ?


Le public de Cologne (Allemagne) a eu la chance d’assister à un bon jam entre les membres d’Exodus, Death Angel et Kreator le 19 décembre dernier sur le morceau d’AC/DC « Dirty Deeds Done Dirt Cheap ». Présent sur les lieux du Thrashfest, le mouchard de Radio Metal nous a signalé que c’était un peu trop hard pour Mille Petrozza (cf : l’interview de Tommy Vetterli de Coroner).

D’ailleurs comme Kreator et Coroner seront présents au Hellfest nous allons tenter d’organiser un match de boxe entre les deux musiciens et pour cela des gants choisis exprès pour l’occasion seront amenés aux protagonistes avec la bénédiction de Paul Amar himself. Enfin si c’est pour se faire virer du Hellfest 2011 comme Paul Amar l’avait été de la télévision à l’époque de son initiative malheureuse, ça ne vaut pas vraiment le coup non ? En même temps personne ne peut virer Radio Metal. Je suppose d’ailleurs que vous savez pourquoi. Non vraiment vous ne voyez pas ?

Bah parce qu’on est Radio Metal bordel !!!



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