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Nouvelles Du Front   

Queensrÿche : l’histoire (presque) sans fin


Le 10 février, une date que les fans de Queensrÿche avaient peut-être notée dans leur agenda avec la mention : « fin du conflit ? ». Aux dernières nouvelles, ce devait être le dernier jour où deux Rÿche se seront partagés le royaume : il y a un mois, le site Classic Rock dévoilait que Geoff Tate et ses anciens collègues avaient moins de trois semaines pour parvenir en privé à un accord concernant le droit à l’utilisation du nom et de la marque Queensrÿche, surtout s’ils voulaient éviter de laisser la décision à un juge et que démarre une action judiciaire de longue durée, après une affaire qui dure déjà depuis plus d’un an et demi, laissant deux entités différentes mais unies par une histoire qui n’aura mené qu’à une scission se balader autour du monde.

Aujourd’hui, 21 février 2014, onze jours après cette date butoir, nouveau rebondissement : la situation écope d’une prolongation de quatre semaines.

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Nouvelles Du Front   

Lamb Of God : Randy Blythe est libre


Fin d’une affaire judiciaire qui a donné des sueurs froides à plus d’un fan de metal et de Lamb Of God, plus particulièrement. Arrêté et inculpé le 27 juin 2012, à Prague pour homicide involontaire, accusé d’avoir causé la mort d’un de ses fans suite à un concert de son groupe en 2010 dans la capitale tchèque, le chanteur Randy Blythe, risquant jusqu’à cinq années de prison, devait connaître aujourd’hui le verdict du tribunal. Et il est finalement tombé : innocent.

L’info vient de tomber sur le site Novinky.cz, où l’on trouve une vidéo montrant Blythe s’exprimant juste avant le prononcement du jugement : « Je voudrais remercier la famille de Daniel Nosek de ne m’avoir pas attaqué par voie de presse et pour leurs mots gentils dans ce tribunal. Cette mort me désole. Daniel était un fan de mon groupe. Je n’avais aucun souhait de le blesser. Ce n’était qu’un garçon et je voudrais qu’il soit encore là. Si, à la fin, le système légal tchèque me condamne à de la prison, je ferai ma peine comme un homme. Si je reste libre, je ferai de mon mieux pour que les conditions de ce concert [en 2010] ne se retrouvent jamais que ce soit avec mon groupe ou d’autres groupes afin que les fans soient en sécurité. »

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Lamb Of God : Randy Blythe face à ses accusateurs


Nous sommes le 4 février, le procès de Randy Blythe, chanteur de Lamb Of God, pour homicide involontaire a commencé. Ce matin, avant de partir pour le tribunal, il a publié la photo ci-contre sur Instagram avec les mots : « Voilà, ça commence. Je suis calme, je suis prêt. Merci à tous pour vos bonnes pensées et prières. Passez une bonne journée. »

C’est donc un Randy Blythe méconnaissable, comme nous le décrit le site Blesk.cz, tiré à quatre épingles, qui est arrivé ce matin au tribunal de Prague, avec un quart d’avance. Il n’a pas adressé un mot aux journalistes, ne parlant avant la séance qu’avec son avocat. C’est aussi la première fois que le frontman est confronté au père du jeune homme, Daniel N., 19 ans au moment de son décès, qu’on l’accuse d’avoir jeté de la scène, causant sa mort, en mai 2010.

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Lamb Of God : Randy Blythe repasse par la case procès


Le feuilleton judiciaire de l’été redémarre. Libéré début août après cinq semaines passées en détention préventive à la prison de Pankrác (au sud de Prague, République Tchèque), et même si lui-même, ses acolytes, voire d’autres musiciens proches de Randy Blythe et de Lamb Of God ont passé des derniers mois à clamer son innocence auprès de bien des médias, le chanteur va devoir retourner face à ses accusateurs. « Après trois mois d’enquête, le procureur de la République Tchèque a décidé de poursuivre et de maintenir l’accusation contre Randy Blythe d’homicide involontaire avec volonté de causer des blessures physiques », nous apprend un communiqué de Larry Mazer, manager de Lamb Of God.

Accusé d’avoir causé la mort d’un des fans du groupe, un certain Daniel N., 19 ans, suite à un concert en mai 2010 à Prague, Blythe avait été arrêté en juin dernier alors que la formation américaine allait se produire à nouveau dans la capitale tchèque. Suite à sa libération sous caution et une fois rentré chez lui, il avait affirmé dans un communiqué : « Si cela est jugé nécessaire pour moi de le faire, je retournerai à Prague pour assister à mon procès. Bien que je maintiens que je suis à 100% innocent, et ne cesse de le dire, je ne me cacherai pas aux États-Unis, à l’abri de l’extradition et d’éventuelles poursuites. […] Je sens TRÈS FORTEMENT que, en tant qu’adulte, il serait à la fois irresponsable et immoral pour moi de ne pas retourner à Prague si je suis convoqué. Ce n’est pas une question d’argent pour la liberté sous caution. Il s’agît d’un jeune homme qui a perdu la vie. Je vais agir avec honneur et je me battrai pour nettoyer ma réputation dans ce domaine. »

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Kyuss Lives! : à leurs risques et périls


Limiter les dégâts. C’est ainsi qu’on peut résumer en trois mots la conclusion du juge James Otero dans l’injonction préliminaire dans l’affaire opposant les anciens membres de Kyuss et les membres de Kyuss Lives!. Sans doute faut-il vous rappelez-les faits, mais le document juridique publié par la cour californienne le fait très bien pour bien nous faire comprendre qu’est-ce qui appartient à qui chez ces desert-rockeurs. Mais comme 17 pages d’un tel document, en anglais, ça peut être lourd pour tout le monde, on vous résume….

Tout commence en 1987 quand quelques jeunes musiciens, Josh Homme, John Garcia, Brant Bjork, Nick Oliveri et Chris Cockrell, fondent un groupe alors baptisé Katzenjammer, devenu Sons Of Kyuss, puis Kyuss. C’est d’ailleurs sous ce nom qu’en 1991 ils signent (entre temps Cockrell est parti) avec Chameleon Music Records pour un premier disque, un document où le groupe apparaîtrait comme « Kyuss Partnership ». Et c’est de ce « partenariat » que viendrait tout le problème, le gros méli-mélo juridique que le tribunal doit maintenant démêler pour rendre justice à toutes les personnes impliquées.

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L’affaire Queensrÿche/Geoff Tate : « ça va être sale »


La séparation entre Queensrÿche et son chanteur emblématique Geoff Tate, officialisée la semaine dernière, ne s’est pas faite sans éclats. Dans un entretien exclusif accordé à Rolling Stone, le frontman tient à rétablir la vérité quant à ce split visiblement inamical et même surprenant pour lui : « Nous nous connaissons depuis 30 ans. Nos enfants ont grandi ensemble, nous sommes allés aux barbecues, mariages, divorces, naissances d’enfants de chacun. Que cela se finisse d’une manière aussi hostile est juste incroyable, je ne comprends pas ».

Il apparaît que le communiqué du groupe officialisant la nouvelle ne représente en rien un quelconque consensus entre les deux parties. Tate le présente même comme mensonger.

Il pointe tout d’abord l’expression « divergences créatives » utilisée par le groupe pour justifier cette séparation : « Pour qu’il y ait des divergences créatives, il faut qu’il y ait deux entités ou plus qui donnent des idées. Et ce n’était pas le cas. Queensrÿche, ça a toujours été mes idées, dès le premier disque. […]Ce sont des concepts, des thématiques, qui m’appartenaient. […]J’ai écrit 81% de la musique et des paroles. Sur les 144 chansons qu’a sorti Queensrÿche, j’en ai écrit 116. […]Quand Chris [DeGarmo] était dans le groupe, il y avait un partage entre lui et moi. Quand il est parti, j’ai été le seul à porter ce fardeau, bien que je ne considère pas cela comme un fardeau. C’est ce que je fais, je suis quelqu’un de créatif. […]Je présente mes idées aux autres et ils disent ‘Ouais, ça nous semble bon' ». Et Tate d’ajouter que ses collègues ne se sont jamais plaints auprès de lui de l’orientation musicale du groupe.

Que l’expression employée par le groupe soit exagérée et déforme quelque peu la réalité ne remet pas pour autant en cause un possible besoin du groupe de changer d’air. Mais d’après Tate, ce communiqué n’a aucune valeur et n’est qu’une façade pour masquer un conflit bien moins artistique. Le chanteur présente les diverses décisions de ses collègues comme étant motivées par des raisons économiques et personnelles visant à l’écarter du groupe. Ci après, sa version, presque surréaliste.

Lire la version de Geoff Tate…



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Kyuss Lives! ne se laissera pas « brutaliser » par Josh Homme


Aux derniers chapitres, on n’aurait pas misé grand chose sur l’avenir de Kyuss Lives!. Avec un procès pour usage illégitime d’une marque déposée (le nom de Kyuss appartenant, aux yeux de la loi, à Josh Homme) auquel s’est ajouté le départ du bassiste Nick Oliveri, on aurait pu croire que le doute naîtrait chez John Garcia (chant) et Brant Bjork (batterie), seuls membres historiques restant, voire que cela mettrait un brusque coup d’arrêt à cette aventure.

On aurait fait un mauvais pari car, au contraire, Garcia et Bjork ont les dents bien plantées dans le mors et sont bien décidés à aller jusqu’à l’étape suivante, à savoir nous apporter un disque de nouvelles compos signées Kyuss Lives!.

Un procès ? Pas peur ! Pas même surpris car, pour eux, ce n’est que le dénouement logique de leurs rapports, depuis plus de vingt ans, avec le leader de Queens Of The Stone Age. Face aux façons de « dictateurs »de Homme, Kyuss Lives! n’a pas prévu de se laisser encore « brutaliser ».

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Josh Homme contre Kyuss Lives


Voilà une nouvelle qui tombe comme un cheveu noir, épais et gras dans un délicieux potage qui mijotait pourtant gentiment depuis novembre 2010… C’est dire si la chute de cette histoire a mis du temps à venir. Josh Homme et Scott Reeder, étant respectivement l’ancien guitariste et l’ancien bassiste de Kyuss, portent plainte contre Kyuss Lives, le groupe de leurs anciens comparses Garcia, Bjork et Oliveri qui fait revivre le son des pères du desert rock. La plainte a été déposée auprès de la Cour de Californie pour atteinte à la propriété intellectuelle et utilisation frauduleuse d’une marque déposée, citant Homme comme le seul plaignant (même si un communiqué nous prouve bien que Reeder se trouve bien du même côté) et le chanteur John Garcia et le batteur Brant Bjork comme les défendants.

Si la nouvelle est aussi énorme, c’est aussi parce que rien ne laissait présager la mise en place d’une pareille procédure. Le navire Kyuss Lives semblait naviguer sur un long fleuve tranquille, Garcia, d’abord, ne se plaignant pas de l’absence à leur côté de Josh Homme, comprenant à quel point il est un homme occupé. De son côté, ce dernier a d’ailleurs été vu en juillet dernier remuant du chef pendant un concert de Kyuss Lives aux Eurockéennes de Belfort, prouvant à quel point il était satisfait de ce qu’on faisait de ses anciennes compos. Et voir Reeder mêler à ça est tout aussi – sinon plus – étonnant puisqu’il est carrément venu tenir la basse pour ses vieux copains à chaque fois que Nick Oliveri était absent ces derniers mois.

Alors, qu’est-ce qu’il se passe ?



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Behemoth déchire la Bible : c’est de l’art



Dans le procès dans lequel Adam Darski, leader de Behemoth sous le nom de Nergal, le verdict a été rendu : Nergal est innocent des faits tels qu’on les lui a reproché. Le juge Krzysztof Wieckowski a statué hier que le fait qu’il ait déchiré une Bible au cours d’un de ses concerts à Gdynia, en Pologne, en avril 2007, est « une forme d’art » en rapport avec le style de son groupe et que le tribunal n’a aucune intention de limiter la liberté d’expression ou le droit de critiquer la religion. Les membres du public ont témoigné que leurs sentiments religieux n’avaient pas été heurtés, même s’ils étaient chrétiens.

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