Les années 90 ont été de grandes années d’expérimentations pour bien des groupes de metal. Pour certains, les ténors du genre qui ont connu leurs années fastes dans la décennie précédente, il s’agissait de s’adapter à une nouvelle ère pour essayer de survivre. Pour d’autres, c’était tout simplement une manière de suivre un vent de liberté artistique. C’est particulièrement ce qui s’est passé au crépuscule des années 90 avec la scène gothique européenne : Paradise Lost, My Dying Bride, Septicflesh et Moonspell ont tous sorti quasiment la même année un album plutôt expérimental teinté d’électronique. Celui qui a poussé le bouchon le plus loin est sans doute la bande à Fernando Ribeiro avec le controversé The Butterfly Effect.
The Butterfly Effect est un album déconcertant, c’est certain, mais aussi très cohérent : l’mprévisibilité qui caractérise sa musique et a imprégné sa conception fait directement écho à sa thématique sur la théorie du chaos – on ne peut plus d’actualité avec la crise du Covid-19 que l’on traverse vingt après. Alors qu’il est désormais réhabilité aux yeux de nombreux fans, nous avons profité de la réédition de The Butterfly Effect cette année pour revenir avec Fernando Ribeiro sur l’histoire d’un des albums les plus singuliers, intrigants, voire fascinants, du genre.
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