CODE ORANGE sortira son nouvel album, intitulé Underneath, le 13 mars 2020 via Roadrunner Records. En savoir plus …
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CODE ORANGE sortira son nouvel album, intitulé Underneath, le 13 mars 2020 via Roadrunner Records. En savoir plus …
Megadeth’s new album, Super Collider, is an event in and of itself. Not only because it’s the latest offering from one of the most influential American thrash bands – and a member of the Big 4, no less –, but also because the band are taking their audience to unexpected places. Even though Megadeth’s sound and typical riffs are well and truly present, some of the songs go farther than thrash, using elements from various worlds and even going as far as experimenting. On the limited edition of the album, one track, “A House Divided”, even includes a trumpet!
As was expected, criticisms were not long in coming. In a way, in terms of risk-taking if not of style, this is exactly what happened with another one of the band’s album: the much maligned but aptly named Risk. On 9th June, during Sonisphere France festival, we were lucky to interview bass player Dave Ellefson, who has revived his old friendship with Dave Mustaine and confirmed his return in Megadeth with the album Th1rt3en. It was a good opportunity to decipher the new album, compare it to Risk and put it in perspective with the rest of the band’s discography.
Le nouvel album de Megadeth, Super Collider, est un événement en soi. Pas uniquement parce qu’il s’agit du nouveau lot de chansons d’un des groupes de thrash américain, membre du Big 4, les plus influents mais aussi parce que le groupe donne rendez-vous à son public là où il ne l’attendait pas forcément. Même si on y retrouve le son Megadeth et les riffs typiques, certaines chansons s’ouvrent au-delà du thrash, piochant dans des univers différents et même diverses expérimentations. Sur l’édition limitée de l’album, un titre, « A House Divided », se paie même le luxe d’intégrer une trompette !
Les critiques ne se sont d’ailleurs pas faites attendre et tout ceci rappelle furieusement, non pas dans le style mais dans la prise de risque, un autre album du groupe : le très décrié, et néanmoins bien nommé, Risk. Avoir l’opportunité, au Sonisphere France le 9 juin dernier, de discuter avec le bassiste Dave Ellefson – qui a renoué son étroite amitié avec Dave Mustaine et pérennisé son retour dans Megadeth avec l’album Th1rt3en – était l’occasion de décrypter ce nouvel album, le comparer à Risk et le mettre en perspective avec le reste de la discographie du groupe.
Very early on in their career, Kvelertak were considered the new metal/rock curiosity to discover. Then they quickly evolved from curiosity to sensation. All it took was a first album, released through Indie Recordings and graced by a wonderful artwork signed by John Baizley, for the Norwegian band to convince the audience and create big expectations.
In fact, that’s not surprising given that their recipe associates originality, creativity and efficiency. With their highly varied influences, Kvelertak have created their very own style. That’s probably what the audience is looking for, even unconsciously, in a world that’s evolved towards formatted, rehashed music, even in metal. Kvelertak are a breath of fresh air, mixing energetic punk rock, federating classic rock, lively hardcore, aggressive black metal and psychedelic stoner.
When we interviewed him a few weeks ago, Vidar Landa, one of the band’s three guitarists, told us: « We’re six members and everybody has their own musical backgrounds. We all put these influences into our music and into the band. » As a result, there’s always something in their songs that will make one go: “Oh, that’s surprising!” The fact that the three guitarists compose probably explains the acute sense of melody and harmonies the band shows. At least that’s what Landa suggests: « We’ve always been doing that and the songs are always made with that in mind, based around three guitars. So it’s not really hard to handle for us. It’s part of our foundations. That’s also what’s fun about this band: the fact we can play around with a bunch of guitars and do lots of harmonies. »
Are we currently witnessing the birth of a future leading light? Of one of those bands that will drive tomorrow’s metal scene? It might be a bit early to tell (even if we really want to believe), and the music world may have become too complex, compared to the 70s, 80s and 90s, to speculate on tomorrow’s talents. But one must admit that, in spite of their youth, their weird name and their Norwegian lyrics, Kvelertak elicit almost unanimous support.
« Si tu ne fais pas attention, le Black Dog va t’arracher la tête ! C’est ce qu’on fait : on est les Black Dogs du rock’n’roll et on vient pour toi ! » nous disait récemment le chanteur-guitariste Joel O’Keefe. Et cette grosse bête venue des Antipodes devrait cogner à votre porte le 20 mai exactement.
Black Dog Barking, le nouvel album d’Airbourne, n’est donc plus qu’à quelques pas de votre paillasson qui n’aura probablement plus la même couleur une fois qu’il lui aura fait son affaire pas très propre, car totalement rock’n’roll. Mais vous pouvez déjà l’entendre hurler derrière votre porte en attendant qu’il s’en prenne à votre chaîne hi-fi. Allez-vous lui ouvrir ? Si oui, vous allez vous précipiter dans la suite car nous vous offrons en avant-première, en partenariat avec Roadrunner Records, l’écoute intégrale de cet opus.
Soulfly a changé d’adresse. Max Cavalera met fin à une liaison de vingt-quatre ans avec la maison Roadrunner Records qui l’avait d’abord accueilli en 1989 au temps de l’album Beneath The Remains de Sepultura, relation suivie après son départ du groupe pour l’aventure Soulfly en 1998. Et finalement l’album Enslaved, sorti l’an dernier, aura été le dernier poulain qu’aura engendré le Brésilien dans cette écurie car le prochain verra le jour dans la maison Nuclear Blast Entertainment.
On aura assez passé de temps en 2012 à tergiverser sur la fuite de quelques gros noms de chez Roadrunner depuis la fermeture de nombreux bureaux du label, propriété de Warner Music Group, il y a un an. Il est vrai qu’on a vu plus de groupes faire leurs adieux à RR ces douze derniers mois qu’apprécier les nouvelles signatures de cette maison. Mais parmi les plus récentes, on a tout de même vu entrer Gojira et Kvelertak, deux formations qui semblent déjà dessiner l’avenir du metal, qui trouveront là un maxi tremplin à leur carrière, et qui ont rejoint une équipe où jouent encore des cadors du hard rock et du metal (d’Airbourne à Trivium, d’Avenged Sevenfold à Stone Sour).
Et finalement, ce n’est pas tant une démonstration d’infidélité envers Roadrunner ou de mépris envers ceux qui l’ont catapulté à la hauteur où il se trouve aujourd’hui que fait Soulfly, qu’une preuve de fidélité et de confiance envers un des éléments qui a fait la réputation de ce label.
Kvelertak est très tôt devenu la nouvelle curiosité rock/metal à connaître. Curiosité qui s’est vite changée en sensation à suivre. Il n’aura fallu aux Norvégiens qu’un premier album, sorti chez le découvreur de talents Indie Recordings et orné d’une magnifique pochette de John Baizley, pour convaincre et créer l’attente.
En fait, il n’y a rien ici de si étonnant dans la mesure où la recette proposée combine à la fois originalité, créativité et efficacité. Piochant dans des influences extrêmement disparates, Kvelertak s’est forgé un style très personnel. Sans doute est-ce ce que le public attend, même inconsciemment, dans un monde qui a évolué vers des musiques formatées ou recopiées des vieux succès, y compris dans la sphère du metal. Kvelertak est une bouffée d’air frais, alliant l’énergie du punk rock, au côté rock’n’roll et fédérateur du classic rock, à la nervosité du hardcore, à la hargne du black metal et au psychédélisme du stoner.
Interrogé il y a quelques semaines, Vidar Landa, l’un des trois guitaristes de la formation, nous expliquait : « Nous sommes six membres et chacun a son propre background musical. Nous mettons toutes ces influences dans notre musique. » Ainsi, il y a toujours quelque chose dans leurs chansons qui fait dire : « Tiens, c’est étonnant ça ! » Et certainement le fait que trois guitaristes le composent explique le sens aigu de la mélodie et des harmonies dont le groupe fait preuve. C’est en tout cas ce que Landa nous fait comprendre : « Nous avons toujours fait ça et les chansons ont toujours été élaborées avec ça en tête, le fait de les baser sur trois guitares. Ce n’est donc pas difficile à gérer pour nous. Ça fait partie de nos fondations. C’est aussi ce qui est fun avec ce groupe : le fait que l’on peut jouer avec plusieurs guitares et créer énormément d’harmonies. »
Serait-on en train d’assister à la naissance de l’un des ténors de demain ? De ceux qui auront vraiment fait avancer la scène metal à venir ? Il est peut-être un peu tôt pour le dire – même si on veut le croire – et peut-être le monde de la musique est-il devenu trop complexe – en comparaison des années 70, 80 et 90 – pour jouer les Nostradamus sur les talents de demain, mais force est de reconnaître qu’en dépit de son jeune âge, de son étrange nom et de ses paroles entièrement en norvégien, Kvelertak semble déjà faire l’unanimité, ou presque.
La situation à Roadrunner Records est assez confuse. Ou plutôt : elle est confuse quand on la regarde d’un œil extérieur car, vu depuis ce qui transparait dans les médias, tout fout le camp. Mais il ne faut tout de même pas exagérer. Même si Machine Head confirme être en train de chercher ailleurs, le guitariste Phil Demmel, dans une récente interview, montre qu’il regrette quand même qu’il faille tourner cette page : « Ça craint de voir tout ce qui se passe. De voir tout ces gens qui se sont battus pendant des années pour le groupe et qui sont devenus notre famille qu’on voyait sur la route, on travaillait avec ces gens qui sont de vrais fans de musique. On leur doit beaucoup ce qu’on est. Ce contrat nous a comblés. […] Nous ne savons pas ce que nous allons faire. On a trois ou quatre labels en vue et on n’a encore éliminé personne. »
Dream Theater a aussi renouvelé récemment sa profession de foi chez Roadrunner. John Petrucci explique à propos de ce prolongement du contrat qui les lie que c’est depuis qu’ils sont chez ce label qu’il ont pu atteindre le haut des charts, être nominés pour un Grammy (avec A Dramatic Turn Of Events l’an dernier) et grandir un peu plus en tant que groupe international. Dans le même sens, Joe Duplantier nous a récemment avoué que, même si c’est une mauvaise période pour Roadrunner (avec des restructurations, des licenciements, des changements de direction) et qu’il regrette ce qui se passe, entrer dans cette maison, pour Gojira, était la meilleure chose à faire pour franchir une nouvelle étape dans leur conquête du monde.
Par conséquent, le départ maintenant de Megadeth est-il un nouveau revers pour la maison de disques ?
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