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Interview   

Life Of Agony panse les plaies


Depuis l’incontournable et incroyablement pessimiste River Runs Red, Life Of Agony a parcouru un sacré bout de chemin et revient de loin. Entre crises d’identité, dépressions, séparations, frictions, à bien y regarder, c’est presque un miracle que Life Of Agony soit toujours parmi nous aujourd’hui. En réalité, toutes les expériences négatives qu’ont pu vivre les membres du groupe et qui auraient pu avoir raison de celui-ci semblent, en réalité, avoir été son carburant. La musique de Life Of Agony sert autant de journal intime que de thérapie pour panser les plaies. En vingt-six ans, on ne peut que constater le bien qu’elle a fait à la fois aux fans et aux membres du groupe eux-mêmes, dont le cœur semble enfin avoir trouvé un brin de lumière et d’espoir.

Fort d’une nouvelle membre, la batteuse Veronica Bellino, et d’une alchimie renforcée, Life Of Agony nous revient avec un projet audacieux, celui de donner une suite à River Runs Red et son concept, dont le final était pourtant marqué par le suicide sanglant du protagoniste. Ainsi, The Sound Of Scars se retrouve avec un pied dans le passé, un pied dans l’avenir, thématiquement comme musicalement. Nous nous sommes entretenus avec celui qui fut le cerveau créatif de River Runs Red, le bassiste Alan Robert, pour qu’il nous parle de cette suite et de l’état d’esprit de Life Of Agony plus de deux décennies plus tard.

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Interview   

Life Of Agony : de l’eau rouge a coulé sous les ponts


Il y a des disques qui marquent l’histoire des groupes et il y a des disques qui vont encore plus loin en marquant l’histoire des genres dans lesquels ils évoluent, obtenant ainsi le statut peu commun de « disques cultes » aux yeux des fans. Pour cela, il n’est pas forcément nécessaire qu’ils réunissent une énorme communauté de fans ou qu’ils se vendent à des millions d’exemplaires. Car ce statut, les disques concernés l’acquière avant tout par l’enthousiasme souvent démesuré qu’ils ont suscité, et suscitent encore évidemment, auprès d’auditeurs devenus fanatiques. Avec River Runs Red, disque sorti par Life Of Agony en 1993 mélangeant metal et sonorités plus hardcore, on a ici à faire à un album appartenant à la catégorie des ovnis cultes par sa profondeur et sa noirceur.

Mettant en avant l’histoire d’un jeune adolescent qui rencontre de multiples problèmes existentiels, ce disque conceptuel dépasse le cadre purement musical car il s’intéresse à une descente aux enfers aussi bien physique que psychologique. Lorsque nous avons rencontré Mina Caputo et Alan Robert à l’occasion de la sortie du dernier album en date des New Yorkais, intitulé A Place Where There’s No More Pain, nous en avons également profité pour discuter avec eux de leur rapport à River Runs Red, près de vingt-cinq ans après sa sortie.

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Interview   

Life Of Agony : le courage de la vulnérabilité


Life Of Agony revient, après douze longues années d’absence, un deuxième split, et un chanteur devenu chanteuse ! Et le groupe revient avec en guise de « vengeance » selon leur terme, un album, A Place Where There’s No More Pain. « Le meilleur album de Life Of Agony que nous ayons jamais fait, » rien que ça.

Nous avons rencontré Mina Caputo, toute de rose vêtue en cette journée de la femme, et le bassiste et principal compositeur Alan Robert, afin de parler de la création de ce nouvel album, de leur état d’esprit aujourd’hui, de la vie de façon générale, mais aussi revenir sur le changement de genre de Caputo, et de son « rôle en société », qui en parle de façon touchante et avec une extrême franchise. Et tout ça, entre deux digressions sur l’alignement des planètes et les pancakes cramés sur Facebook, tout un programme !

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Blow Up Your Video   

Accepter la situation « comic »


Depuis quand est-ce comme ça ? Au cours des deux-trois dernières années, l’opinion a été frappée de découvrir par voix de presse que le « geek, c’est chic » et au cours des derniers mois écoulés, on a l’impression que c’est aussi très tendance dans le metal !

Bien sûr, pour Scott Ian d’Anthrax, cette passion n’est pas nouvelle et ce n’est pas un hasard s’il est devenu scénariste de comics. Quant à Alan Robert (Life Of Agony), dont le Wire Hangers sera adapté en film, il est à croire qu’il avait déjà prévu cette voie avant celle de la musique. Par contre, il faudrait tout de même demander aux membres de Within Temptation lequel d’entre eux est un mordu de BD pour avoir eu l’idée de comic-book « The Unforgiving ».

Et voilà qu’Accept succombe aussi à la passion des bulles dans son nouveau clip… Alors, tendance ou vraie passion ?

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Nouvelles Du Front   

Faire du cinéma, c’est metal


Le rapport entre le metal et le cinéma, c’est un longue histoire allant de KISS contre les Fantômes à l’actuel œuvre en cours de Nightwish. Le lien entre metal et films d’horreur est même encore plus évident : depuis Black Sabbath (nom inspiré par un giallo des années 60) jusqu’aux réalisations de Rob Zombie en passant par les caméos et autres petits rôles tenus par certains artistes sidérurgiques (sans compter l’utilisation de musiques sur les BO). Inutile de vous faire un dessin.

La prochaine étape était probablement de passer à la production. Slash avait déjà franchi le pas en montant sa société Slasher Films, une affaire qui avance puisqu’entre deux bouts de tournée il assure aussi ses rendez-vous d’affaire. Et voici qu’Alan Robert, le bassiste de Life Of Agony, se lance aussi dans l’aventure de la production en montant la compagnie Wasted Talent Entertainment qui sera d’abord dédiée à l’adaptation cinématographique d’une bande-dessinée (ou roman graphique pour faire plus classe) d’Alan Robert lui-même : Wire Hangers.

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