Au vu de sa carrière avec Therion, on aurait pu croire que l’ambition de Christofer Johnsson était sans limites, en particulier après le triple album et opéra metal Beloved Antichrist destiné à être porté sur scène paru il y a deux ans. Mais il faut croire que le musicien qui, en trente ans, n’a cessé de surprendre voire d’innover est arrivé au bout de ses explorations. Il l’admet lui-même et c’est ainsi qu’il explique son nouveau projet, dont Leviathan n’est que le premier des trois chapitres à venir : composer exactement ce que les fans réclament, soit des « tubes » de Therion, en prenant ses anciens succès comme modèles, non pas pour les copier mais pour en extraire l’essence.
Loin de succomber à ce qu’il appelle le « syndrome d’Adrian Smith », contrairement à certains de ses anciens collègues, il est désormais heureux d’être un entertainer qui ne se soucie plus de l’originalité – après tout, l’innovation est-elle encore possible en 2020 ? Heureux aussi que les années de disette, à rester fidèle à ses principes quand personne ne croyait en lui et en ses idées folles, aient payé. Et quand le moral baisse et qu’il commence à douter de son choix de vie, il suffit qu’il se remémore ses débuts pour retrouver le sourire et prendre conscience de sa chance. C’est pour évoquer tout cela que nous avons longuement échangé avec Christofer Johnsson qui partage généreusement son expérience et son histoire.
FUATH (avec Andy Marshal de SAOR) dévoile le clip vidéo de la nouvelle chanson « Prophecies »
The Dead Daisies : nouveau départ
ARCHITECTS dévoile le clip vidéo de la chanson « Dead Butterflies »
Tribulation – Where The Gloom Becomes Sound
Jon Schaffer (ICED EARTH, DEMONS & WIZARDS) a été arrêté
KARDASHEV signe chez Metal Blade Records
Le Hellfest publie une lettre ouverte adressée à la ministre de la culture Roselyne Bachelot
Asphyx – Necroceros
Marko Hietala annonce son départ de NIGHTWISH
Soen – Imperial