JOE SATRIANI se produira en France en mai et juin : voir agenda concert. En savoir plus…
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JOE SATRIANI se produira en France en mai et juin : voir agenda concert. En savoir plus…
2019 aura marqué le monde du death metal au moins pour un événement majeur : le retour discographique de Possessed qui signe avec Revelations Of Oblivion son premier disque de compositions originales en 32 ans. Possessed, c’est ce groupe de la baie de San Francisco qui a posé les bases du death metal tel qu’on le connaît aujourd’hui. Un pionnier.
Alors, pour marquer l’événement, nous avons profité d’avoir Jeff Becerra au bout du fil pour qu’il partage avec un nous trois ans d’histoire, son histoire, celle de Possessed, mais aussi, par extension, celle du death metal. Ainsi, il nous parle des trois premiers disques du combo, des moments de débauche pendant l’enregistrement de Seven Churches (1985) et de ses poulets apeurés à l’implication de Joe Satriani pour l’EP The Eyes Of Horror (1987), en passant par un problème de son sur le pourtant classique Beyond The Gates (1986).
Œuvrant depuis trente-cinq ans en tant que guitariste solo, il n’a pas fallu longtemps à Joe Satriani pour rencontrer un vrai succès populaire. A sa propre surprise : la musique instrumentale n’est pas réputée bankable. Ce succès, qu’il doit certainement, plus encore qu’à sa technique éblouissante, à son style mélodique, aussi inventif qu’efficace, lui permet aujourd’hui d’incarner le modèle même du guitar hero moderne. Pourtant, relativement modeste, prônant avant tout la discipline et le travail, et balayant le concept de « guitar hero », Joe Satriani n’a pas toujours été destiné à une telle carrière. Si la guitare a toujours été son amour, son ambition était d’abord celle de Squares, un trio éphémère de pop rock fondé à la fin des années 70, et dont il sort aujourd’hui, pour la première fois, les musiques via un Best Of The Early 80’s Demos à la fois curieux et plein de nostalgie.
C’est à l’occasion de cette sortie que nous avons plongé avec Joe Satriani dans ses jeunes années et ses débuts professionnels. Outre la période Squares, celle de transition qui a suivi, le démarrage de sa carrière solo ainsi que ses « jobs » ponctuels auprès de Mick Jagger ou au sein de Deep Purple, il est également question de Jimi Hendrix, qui lui a donné l’impulsion pour devenir guitariste et dont il est revenu il y a peu d’une tournée hommage, mais aussi de ses autres héros, mentors et professeurs. Professeur, il l’a d’ailleurs lui-même été, instruisant de jeunes guitaristes devenus, comme lui, des super stars de la guitare, à l’instar de Steve Vai ou Kirk Hammett.
Le guitariste, d’un naturel simple et agréable, a pris son temps (plus d’une heure…) pour échanger avec nous. En résulte un entretien riche, instructif et bourré d’anecdotes.
Chez les musiciens, en matière de CV, on peut difficilement faire mieux que celui de Don Felder. Parmi les artistes avec qui il a collaboré, on trouve pèle-mêle : les Bee Gees, Barbra Streisand, Diana Ross, Elton John ou encore Michael Jackson. D’ailleurs, vous croyiez que l’album le plus vendu – au moins en Amérique – était le mythique Thriller de Michael Jackson ? Raté. En 2018, Their Greatest Hits (1971–1975) des Eagles supplante ce dernier avec 38 millions d’exemplaires vendus rien qu’aux USA (d’apres un nouveau comptage de la RIAA). Et qui retrouve-t-on dans ce best of et qui a notamment participé à l’écriture d’« Hotel California », l’un des plus grands tubes de tous les temps ? Don Felder.
Alors quand le chanteur-guitariste sort un nouvel album solo, on ne s’étonnera pas que tout un cortège de superstars du rock vienne lui prêter main-forte, entre les musiciens de Toto, Slash, Joe Satriani, Sammy Hagar, Chad Smith, Richie Sambora, Orianthi, Alex Lifeson, Peter Frampton… Et ça tombe bien, avec le bien nommé American Rock’N’Roll, Don Felder rend un vibrant hommage… au rock n’ roll américain. Nous avons profité de son passage à Paris pour qu’il nous en touche deux mots, ou même un peu plus.
Juste après que Michel Sardou a fait ses adieux, La Seine Musicale, toute récente salle des environs de Paris, a accueilli les amateurs de guitare le temps d’une soirée. Joe Satriani revient en effet avec le G3 à travers l’Europe. Ce projet lancé par le guitar hero permet de mettre en avant plusieurs autres grands maîtres de la six cordes comme Steve Vai, Yngwie Malmsteen, Steve Morse de Deep Purple, Robert Fripp de King Crimson et tant d’autres. Pour cette tournée, Satriani emmène avec lui John Petrucci de Dream Theater et Uli Jon Roth, l’ex-guitariste de Scorpions.
L’occasion pour nous de profiter de morceaux rares en concert des répertoires solos des musiciens, dans une salle à l’acoustique irréprochable. Alors on entre dans ce grand bâtiment à la fière allure, et l’on s’assoit pendant que les fanatiques de l’instrument viennent se coller au premier rang pour prendre quelques photos des setlists et des guitares déjà disposées sur scène.
Joe Satriani sort aujourd’hui son nouvel album, intitulé What Happens Next, via le label Sony / Legacy. En savoir plus…
Joe Satriani sortira son nouvel album, intitulé What Happens Next, le 12 janvier 2018 via le label Sony / Legacy. En savoir plus…
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