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Interview   

Destruction : brutalement vivant


Il faut croire qu’après l’arrivée du batteur Randy Black en 2018 et celle de Damir Eskic au poste de second guitariste l’année suivante, le renouveau de Destruction n’était pas tout à fait achevé. Avec le départ de Mike Sifringer – guitariste, membre originel et seul musicien à avoir officié sur tous les albums, y compris le décrié The Least Successful Human Cannonball (1998) –, c’est tout un pan de l’histoire du groupe allemand qui s’en est allé. Heureusement, Martin Furia, son remplaçant, connaissait déjà les lieux, faisant partie de l’équipe du groupe depuis 2016, et le frontman-bassiste Marcel « Schmier » Schirmer, plus que jamais fidèle au poste, est là pour assurer la continuité et la pérennité de Destruction.

Fort également d’une nouvelle écurie, Napalm Records, que le groupe a intégré après dix ans de Nuclear Blast, c’était même l’occasion d’un recentrage, voire un retour aux sources. Diabolical est de ces albums sans concessions. Inutile de chercher la moindre expérimentation ou influence progressive, le quinzième opus de Destruction – comme l’annonce d’emblée sa pochette – est thrash jusqu’au bout des ongles, y compris dans les thèmes qui suivent la tradition et se nourrissent de l’état de délabrement du monde, non sans laisser une pointe d’espoir.

Un album qui arrive à point nommé pour fêter les quarante ans du groupe. L’occasion, en plus de parler de l’album, de ses inspirations et de tout ce qui a entouré sa réalisation, de remonter le temps avec Schmier aux toutes premières années d’un groupe qui ne s’appelait pas encore Destruction, mais Knight Demon. Une époque où le thrash metal, en tant que style de musique, émergeait de part et d’autre de l’Atlantique…

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Interview   

Destruction défie la mort


Pendant que la jeune génération du thrash prend du galon (Munipal Waste, Havok, Lost Society, etc.), les vétérans du thrash, eux, semblent se remettre en question. Outre-Rhin, après Sodom, voici le tour de Destruction de passer de trio à quatuor. Enfin, « repasser » serait plus juste. Car ceux qui ont bonne mémoire se souviendront que la bande à Schmier avait déjà accueilli un second guitariste dans ses rangs en 1987… Pour un résultat catastrophique pour Destruction : deux ans plus tard, le leader et figure emblématique du thrash allemand était viré de son propre groupe qui, l’histoire le démontrera, n’y résistera pas.

Sauf que trente ans plus tard, le contexte est bien différent, l’expérience aidant, et le nouvel opus Born To Perish prouve déjà les bienfaits d’avoir intégré le jeune Damir Eskic. Ce n’est d’ailleurs pas le seul changement inauguré par l’album, puisque c’est également le premier pour le batteur Randy Black. Ainsi, dans l’entretien ci-après, Schmier nous parle de Born To Perish et partage avec nous les dessous de ces changements, les ambitions qui vont avec mais aussi répond aux éventuelles craintes.

On ne s’est toutefois pas arrêtés là, puisque l’actualité de Destruction est des plus chargées, entre la mise au garage de Pänzer – le groupe « passion » de Schmier pour revisiter le heavy metal de sa jeunesse –, la tournée du Big Four du thrash allemand qui est actuellement en discussion et en bonne voie – enfin ! – d’être concrétisée, les trente ans de l’album Cracked Brain qui devrait bénéficier d’une réédition et avec lequel Schmier a définitivement fait la paix, ou encore les vingt ans de la remise sur pied de Destruction, il y a matière à discuter !

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Interview    Studio Report   

Destruction : récit d’un accouchement


Le 9 août prochain sortira Born To Perish, le quatorzième album d’un des maîtres du thrash allemands, Destruction. Premier album depuis que la bande à Schmier s’est adjoint les services d’un quatrième membre, le guitariste Damir Eskic, et d’un nouveau batteur, en la personne de Randy Black. Un renouveau qui a forcément apporté une excitation supplémentaire autour de la conception de l’opus. L’occasion idéale pour glisser un regard sur les sessions de composition et d’enregistrement.

Dans le récit ci-après, Schmier nous conte la naissance de Born To Perish, en immersion aux côtés du groupe, levant le voile sur les méthodes, la gestion du stress, les interrogations, les difficultés, et surtout le plaisir qu’il éprouve toujours autant à être productif en studio, malgré les trente-cinq ans qui se sont écoulés depuis le tout premier EP Sentence Of Death, alors qu’il allait tout juste sur ses dix-huit ans. Le frontman fait donc également parler son expérience, faisant des parallèles avec le passé et offrant quelques conseils aux jeunes musiciens.

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Interview   

Pänzer : la machine à remonter le tank


Schmier, frontman du célèbre groupe de thrash allemand Destruction, est clairement un vieux briscard dans le metal aujourd’hui. Il en a connu tous les âges, toutes les déclinaisons et évolutions. Seulement, il ne se reconnaît plus dans une bonne partie du heavy metal actuel qui, pour lui, est en train de perdre ses racines. « Ça me fait chier ! Ça me gonfle que plein de gens n’en ont pas conscience, » s’emporte-t-il en parlant des groupes qui, même parmi ses amis, s’égarent dans le factice.

Voilà pourquoi son autre groupe, Pänzer, revêt une importance toute particulière à ses yeux : loin de chercher la nouveauté, au contraire il assume sa nostalgie et veut nous rappeler au bon souvenir du vieux heavy des années 80, sous forme d’un hommage. Et ce n’est pas sa séparation avec son partenaire originel, l’ex-Accept Herman Frank, qui l’en aura découragé. C’est même une ouverture qu’il a trouvé grâce à ses nouveaux compères sur ce second album, Fatal Command. Ça c’est pour la partie musicale. Car au niveau thématique, s’il se permet d’aborder aussi des sujets plus personnels, on retrouve le Schmier sarcastique, en particulier envers certains dirigeants, ridiculisés sur la pochette de l’opus. On discute de tout ceci avec lui.

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Interview   

Liv Sin : la rédemption peut attendre


Il y a un an et demi, après plus de dix ans de bons et loyaux services, et quatre albums, Sister Sin se séparait. A présent, Liv Jagrell ex-chanteuse du groupe, revient avec Liv Sin, et un premier album sorti le 28 avril, intitulé Follow Me.

Côté nom, pas de grand changement, les pêchés sont toujours au rendez-vous, comme un lien entre les deux formations, selon la volonté de Liv elle-même. Côté composition en revanche, la chanteuse est cette fois nettement plus investie dans le processus, comme elle nous l’explique ci-dessous.

Nous l’avons donc rencontrée dans un café parisien, pour évoquer la genèse de son nouveau projet, intimement liée à la séparation de Sister Sin, ainsi que la création de cet album, et les collaborations qui l’ont forgé.

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News Express   

LIV SIN dévoile la nouvelle chanson « Killing Ourselves To Live » avec Schmier de DESTRUCTION


LIV SIN, le nouveau projet de l’ancienne chanteuse de SISTER SIN Liv « Sin » Jagrell – sortira son premier album, intitulé Follow Me, le 28 avril via Despotz Records. Voir les détails…



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