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Interview   

Papa Roach : double je(u)


Bientôt trente ans que Papa Roach existe. Avec une telle longévité et un tel succès, il y a de quoi prendre le melon. Le titre de leur onzième album, Ego Trip, a d’ailleurs de quoi faire (encore) grincer des dents chez les détracteurs des Californiens. Mais comme souvent chez Papa Roach, il faut regarder derrière les apparences, et la provocation, pour découvrir une forme de fragilité. C’est ce que révèle notamment notre échange ci-dessous avec un Jacoby Shaddix parfois philosophe, notamment sur la notion d’échec, et conscient de son parcours.

Chez Papa Roach, tout est une question d’équilibre, en particulier avec Ego Trip : expérimenter, bousculer un peu les fans, mais ne jamais perdre le sens de l’accroche fédératrice. Le contexte particulier dans lequel l’album a été conçu – un groupe parti s’isoler dans un manoir, sans pression, même pas celle d’une maison de disques puisqu’ils sont désormais indépendants – lui a d’ailleurs permis de pousser le bouchon un peu plus loin, de regarder vers l’avenir, sans oublier d’où ils venaient.

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Interview   

L’increvable Papa Roach


Jacoby Shaddix aime bien le Hellfest. Comme il nous le confie en début d’interview : « On voit un paquet de metalleux habillés en gothique qui déambulent avec un grand sourire sur le visage, je me dis que ça n’a pas l’air d’être l’enfer ici ! C’est génial ! » Une ambiance bon enfant qui déteint sur le frontman, particulièrement détendu et très loquace, alors que nous l’avons pourtant arraché au set de Sick Of It All pour une interview de dernière minute, quelques heures à peine avant l’entrée en scène de Papa Roach dans le cadre du Knotfest.

Le temps nous est littéralement compté, mais Jacoby se montre à peu près aussi énergique dans la vie que sur scène et n’hésite pas à réclamer du rab pour répondre de façon satisfaisante à nos questions. Malgré un premier album sorti il y a deux décennies, c’est avec l’enthousiasme et la passion du débutant que Jacoby nous parle de la carrière de Papa Roach et de son amour pour le punk… avant de céder la place à l’expérience quand nous évoquons le lien entre religion et Hellfest.

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Interview   

L’esthétique multi-face de Mark Morton


Sortir un album solo quand on est guitariste d’un groupe de metal, c’est presque un passage obligé. Besoin de reconnaissance, envie de montrer la palette de son jeu dans un autre cadre, toutes les raisons sont bonnes. Mark Morton, guitariste du groupe américain Lamb Of God, se lance dans l’aventure. Mais peut-on réellement parler d’un album solo ? Pas réellement : Anesthetic est plutôt un album de collaborations, qui en effet offre à Mark Morton un grand terrain de jeu pour exprimer son talent et sa polyvalence bien au-delà du metal punchy de sa formation principale.

Mark Morton revendique le fait d’avoir travaillé avec une foule de gens aussi prestigieuse que variée, tant pour la composition que pour la production. Sorti la semaine dernière, Anesthetic avait déjà fait parler de lui rien que par le tout premier titre dévoilé : une collaboration avec Chester Bennington, le chanteur de Linkin Park décédé il y a maintenant deux ans, qui nous lègue une prestation remarquable. Bien entouré, s’offrant également les services de gens tels que Mark Lanegan ou Steve Gorman, le guitariste a aussi joué les fanboys. Nous avons rencontré Mark Morton lors d’un passage à Paris pour nous parler de l’album.

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Interview   

Papa Roach a les crocs


Papa Roach en a marre ! Marre de céder au diktat du single, marre de tomber dans une forme de facilité. Avec Crooked Teeth, le combo californien a décidé de se remettre en question et d’essayer de retrouver cette fougue, voire une forme d’audace, qu’ils avaient pu avoir à leurs débuts. D’ailleurs, est-ce un hasard, à moins que ce soit un signe du destin, si cette année coïncide avec les vingt ans du tout premier album de la bande, le méconnu Old Friends From Young Years ? Toujours est-il que pour leur donner un coup de fouet, Papa Roach s’est adjoint les services de deux jeunes pousses inconnues de la production, Nicholas « RAS » Furlong et Colin Brittain, deux fans qui plus est de la période Infest (2000).

Nous nous sommes rencardés avec Tobin Esperance, le bassiste et compositeur principal du groupe, pour nous parler de ce nouvel élan qu’a trouvé le groupe avec ce neuvième album au fin fond d’un ghetto d’Hollywood – élan qu’ils ne lâcheront pas de sitôt puisqu’ils sont déjà à l’oeuvre pour le successeur -, n’hésitant pas à faire quelques aveux sous forme d’auto-critique.

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Papa Roach : l’art de positiver


Dans quelques jours sortira le nouvel opus de Papa Roach, successeur de The Connection (2012), intitulé F.E.A.R.. Un album enregistré dans le studio de Kevin et Kane Churko, père et fils, dans le désert du Nevada, près de Las Vegas. Un lieu aride où le groupe a d’ailleurs filmé son clip vidéo pour la chanson éponyme « F.E.A.R. (Face Everything And Rise) », une expérience que le guitariste Jerry Horton qualifie de « fatigante, douloureuse et sèche ». Las Vegas, ville du péché, où le chanteur Jacoby Shaddix a avoué avoir eu peur de se rendre, en raison de ses addictions passées à la drogue et l’alcool, et qui semble avoir cristallisé le concept même de l’album, à savoir le combat contre nos propres peurs.

F.E.A.R. est aussi un album faisant un tour d’horizon de ce qu’est Papa Roach aujourd’hui : de grosses guitares, des chansons pop, du rap metal, de l’électronique et, surtout, des refrains à en perdre la tête. Avec en bonus deux invités de marque : le rappeur de Detroit Royce Da 5’9 et la chanteuse Maria Brink de In This Moment, les deux groupes s’étant croisés dans les studios pour leurs albums respectifs.

Nous avons rencontré Jerry Horton pour nous parler de cet album. Nous vous proposons ci-dessous ses réponses condensées par thématiques.

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Nouvelles Du Front   

Santana nous emmène au Paradis


Moi, Santana, je m’en souviens surtout à Woodstock. Oui, celui de 1969. Quoi ? J’ai pas l’air si vieux ? Je ne fais pas mon âge, c’est tout. Et la musique de Santana non plus ne fait pas son âge. Surtout celle qu’il interprète dans son prochain album : Guitar Heaven : The Greatest Guitar Classics Of All Time. Alors, bon, vous excuserez Carlos Santana de ne pas être très créatif puisque c’est un album de reprises. C’est pas pire que les albums de Noël de Scott Weiland ou de Rob Halford.

Mais bon, voilà, en trois mots : quelles pu***ns de reprises ! D’abord comprenez le concept derrière cet album : via cette galette, Carlos Santana a pour but de rendre hommage aux meilleures notes qu’une guitare ait pu voir glisser sur son manche. Fans de Led Zeppelin, de Cream, des Doors, d’AC/DC, de Jimi Hendrix, bref, fans de l’émission « Are You Experienced ? » et donc fans de ma gueule (mode « chevilles hypertrophiées » enclenché), vous pouvez déjà entendre onze des douze morceaux de cet album en streaming sur amazon.com. Et vous ne pourrez que bénir tonton Carlos…

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  • Red Hot Chili Peppers @ Lyon
    Queens Of The Stone Age @ Lyon
    Kiss @ Lyon
    Skid Row @ Lyon
    Hollywood Vampires @ Paris
    Depeche Mode @ Lyon
    Scorpions @ Lyon
    Thundermother @ Lyon
    Ghost @ Lyon
    Spiritbox @ Lyon
    Metallica @ Saint-Denis
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