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Interview   

Sons Of Apollo se tourne vers le futur


Sons Of Apollo, malgré son statut de super-groupe – un type de groupe qui s’est souvent révélé éphémère par le passé – semble bel et bien être une entreprise faite pour durer. Certes, le combo a connu son premier coup de blues lors de la tournée de son premier album Psychotic Symphony, mais le quintet a surmonté l’épreuve, et la détermination et la foi du claviériste Derek Sherinian, trop heureux d’avoir retrouvé son ancienne alchimie avec Mike Portnoy, sont un bon indice sur la direction que pourrait prendre la carrière de Sons Of Apollo.

Pour célébrer 2020 – année qui décidément inspire les artistes, avec l’imaginaire futuriste qu’elle suscite –, sort son second album, intitulé MMXX. C’est à cette occasion que nous avons interrogé celui qui a commencé sa carrière professionnelle comme claviériste de David Hallyday, pour qu’il nous parle de la progression du groupe, autant d’un point de vue humain que musical.

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Interview   

Sons Of Apollo : mise à feu… décollage !


Avec le recul, les revoir jouer et créer ensemble était sans doute inévitable. Mike Portnoy et Derek Sherinian, qui furent assurément la caution rock n’ roll de Dream Theater du temps où ils y officiaient ensemble, ont retrouvé le chemin du studio vingt ans après leur dernier album ensemble, le sous-estimé Falling Into Infinity et sa conception douloureuse. Point de douleur ici avec Sons Of Apollo, mais au contraire le bonheur des retrouvailles et d’une collaboration musicale avec un line-up de folie, aux côtés de Ron « Bumblefoot » Thal, Billy Sheehan et Jeff Scott Soto.

Le résultat, c’est ce premier album, Psychotic Symphony, qui voit Portnoy et Sherinian au plus proche de renouer avec le style de leur ancien groupe. Mais attention, un mot d’ordre ici : s’éclater, balancer de la technique, certes, mais surtout, faire des chansons.

Nous avons rencontré les deux capitaines de vaisseau pour nous parler de cette nouvelle aventure, leur état d’esprit, avec quelques petites piques et sous-entendus que certains ne manqueront pas de noter. En tout cas, une chose est sûre, la complicité est bel est bien là.

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Interview   

Venom Inc. : Demolition Man apporte la lumière


Venom Inc., voilà un « nouveau » groupe que ses membres eux-mêmes ne s’attendaient pas à voir surgir. « Nouveau », pas tant que ça, puisqu’il s’agit d’un trio constitué de Mantas, Abaddon et Tony Dolan alias Demolition Man, le noyau dur de Venom de 1988 à 1992, dont deux des trois membres fondateurs d’une des formations qui fut l’une des plus influentes pour le metal extrême. Et tout est parti d’un événement à caractère exceptionnel qui n’était pas voué à se répéter. Mais le trio a finalement pris les choses comme elles venaient, sans trop se poser de questions, franchissant les étapes à mesure que les portes s’ouvraient. Certes, ils ont dû essuyer des critiques, autant de la part de certains fans méfiants que de l’autre camp, le Venom de Cronos toujours en activité. Mais sa légitimité, Venom Inc. a fini par la gagner en restant eux-mêmes tout simplement, preuve en est ce premier album Avé.

Car s’il y a bien une chose qui caractérise Tony Dolan, avec qui nous nous sommes entretenus ci-après, c’est bien son capital sympathie – c’est même lui qui nous remerciera chaleureusement, lorsqu’une semaine plus tard, nous le recontactons pour lui poser quelques questions supplémentaires pour compléter l’entretien. Un homme passionné au point de partir dans de très longues tirades à chaque question, s’emportant parfois un peu, souvent faisant preuve d’une certaine sagesse voire de philosophie et délivrant une multitude d’anecdotes, car Dolan ne manque pas d’expérience et de vécu dans la musique, sans même parler de sa carrière d’acteur amorcée en 1995 avec son rôle dans Judge Dredd. Enfin si, en fait on en parle aussi, justement : de sa rencontre avec Sylvester Stallone jusqu’à ses jam avec Russell Crowe, Paul Bettany et Billy Boyd en plein tournage de Master And Commander: The Far Side Of The World.

Bref, beaucoup de sujets à aborder, un interlocuteur très bavard et intéressant, ça ne pouvait donner qu’un entretien extrêmement long mais qui, au moins, va au fond des choses et permet d’en apprendre beaucoup. Et encore : une seconde interview à caractère historique est également prévue dans les semaines/mois qui viennent.

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Interview   

Mr. Big défie les éléments


Si Mr. Big a connu des périodes de tumulte dans son histoire, lorsque le quatuor se montre soudé, rien ne semble pouvoir l’arrêter. Une maison de disques qui fait tout pour leur mettre des bâtons dans les roues ? Ils parviennent quand même à se hisser en première place des classements. Le batteur est atteint de la maladie de Parkinson ? Ils lui trouve un binôme-suppléant pour le seconder. Des emplois du temps qui ont dû mal à coïncider pour faire un album ? Pas grave, six jours pour tout faire suffiront bien…

Outre leurs talents de musiciens et chanteurs, l’adaptabilité est sans doute l’une des principales vertus de Mr. Big. Une adaptabilité que l’on retrouve jusque dans leurs jeux respectifs, grâce à cette spontanéité et décontraction dont ils font preuve, fruit d’une longue expérience et qui leur permet de proposer des shows des plus divertissants, entre une technique époustouflante et un sens de l’accroche affûtée. Nous avons rencontré le bassiste-héro Billy Sheehan pour qu’il nous parle de tout ça, à quelques jours de la sortie de Defying Gravity, le neuvième album du quartet, ou plutôt devrait-on désormais dire quintet…

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Monte Pittman remet l’envers à l’endroit


Monte Pittman 2016Il y a deux ans on flashait sur cet illustre inconnu du nom de Monte Pittman et son album The Power Of Three, avec son orgie de riffs et bonnes idées. « Illustre inconnu » ? Pas tant que ça quand on sait que le guitariste a fait un passage chez Prong et qu’il est depuis quinze ans le guitariste de Madonna. On ne va pas vous refaire sa biographie, et on vous renvoie à notre dernière interview – où il explique notamment comment Madonna s’est retrouvée à jouer du Pantera lors d’une de ses concerts – pour faire du rattrapage sur le bonhomme (la partie 1 et la partie 2).

Toujours est-il que le successeur de The Power Of Three était attendu de pied ferme, et le voilà aujourd’hui dans les bacs, intitulé Inverted Grasp Of Balance. Un album qui s’inscrit dans la continuité, à savoir heavy et gorgé de guitares affûtées, inspiré autant du death metal que du rock ou du grunge, mais avec cette fois-ci deux poids lourds à la batterie et à la basse, respectivement, Richard Christy (Charred Walls Of The Damned, ex-Death, ex-Iced Earth) et Billy Sheehan (Mr. Big, The Winery Dogs).

Nous décortiquons donc avec lui, dans l’entretien qui suit, ce quatrième opus, mais en profitons également pour revenir sur cet épisode émouvant lorsque lui et Madonna se sont retrouvés le 10 décembre 2015 à organiser un mini-concert surprise sur la Place de la République à Paris, en hommage aux victimes de l’attaque du Bataclan.

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The Winery Dogs : Richie Kotzen l’instinctif


The Winery Dogs - Richie KotzenIls ne sont que trois dans The Winery Dogs – le chanteur-guitariste Richie Kotzen, le bassiste Billy Sheehan et le batteur Mike Portnoy -, et pourtant il s’en passe des choses dans leur musique, en dépit de ses côtés « faciles » et accrocheurs ! The Winery Dogs est, en soi, un genre de paradoxe. Et sans doute est-ce ainsi parce qu’en grattant un peu sous la surface, les trois compères ont eux-mêmes leurs oppositions de personnalités. On se rend compte, par exemple, que Kotzen se fiche bien de chercher cet équilibre entre virtuosité et accroche auquel Sheehan – à en croire ses propos lors de notre dernière rencontre – semble, lui, donner une certaine importance. Kotzen est avant tout un intuitif en matière de composition, refusant la sur-analyse, à l’inverse de la réputation qui a pu précéder Portnoy dans son ancien groupe, Dream Theater. Portnoy, qui collectionne les projets en tout genre ; Kotzen qui avoue au contraire les éviter…

Bref, à l’occasion de la sortie du second album de The Winery Dogs, Hot Streak, nous avons voulu en savoir un peu plus sur le moins célèbre mais non moins talentueux et pilier créatif de la bande. Celui qui a, avant ça, surtout été connu pour ses passages chez Poison (à qui il a offert l’excellent Native Tongue) et Mr. Big – deux gouttes d’eau dans un océan en comparaison de sa vingtaine d’albums solo. De quoi mieux cerner qui est cette voix chaude, parfois soul ; un artiste accompli et polyvalent qui mérite qu’on s’intéresse à son œuvre.

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Interview   

Eric Martin raconte l’histoire du nouvel album de Mr. Big


Peut-être qu’avec tous ces projets montés par des musiciens vétérans désireux de s’éclater dans des groupes où ils peuvent faire parler la poudre avec leurs instruments sous couverts de chansons rock accrocheuses et efficaces – comme Chickenfoot, Black Country Communion, California Breed ou The Winery Dogs – l’époque était propice au retour de Mr. Big, quatuor formé du guitar-hero Paul Gilbert, du bass-hero Billy Sheehan, du drum-hero Pat Torpey et du chanteur (singer-hero ? Ça existe ?) Eric Martin. Toujours est-il que ce retour, depuis 2009, à l’air de fonctionner puisque le combo propose aujourd’hui son deuxième opus depuis sa reformation, intitulé …The Stories We Could Tell. Un album qui, encore une fois, fait du bien, mêlant – et c’est la marque de fabrique du groupe – une qualité de jeu époustouflante à une musique rock qui nous parle facilement.

Mais, ce que nous explique le chanteur Eric Martin dans l’entretien qui suit, c’est que la conception de cet album s’est montrée particulièrement difficile. Pour plusieurs raisons qu’il évoque, mais la principale est évidemment la maladie de Parkinson que le batteur Pat Torpey a contracté, posant des difficultés à l’enregistrement et une ombre sur l’avenir de Mr. Big. Martin nous raconte donc, avec beaucoup de bagout, de sincérité et de bonne humeur, l’histoire, parfois touchante, de cet album qui se savourera avec d’autant plus de délectation.

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Interview   

Billy Sheehan : un bassiste qui a du chien !


Billy Sheehan est un bassiste reconnu pour sa technique hallucinante – on parle même de « bass hero » – mais, lorsque l’on a eu l’occasion de parler avec lui, ce qui frappe le plus reste encore son enthousiasme, sa simplicité et sa lucidité. Un homme sain d’esprit et de corps qui, outre ses capacités en tant que musicien, apprécie avant tout les bonnes chansons. Et c’est précisément là la raison d’être de son nouveau groupe The Winery Dogs, en compagnie de deux de ses plus chers amis : un Richie Kotzen à la voix chaude et dont les talents méritent d’être mis en lumière, et Mike Portnoy qu’on ne présente plus.

Accrocheur, efficace et avec une petite pincée de virtuosité bien amenée, voici la recette de ce groupe, qui n’est pas sans rappeler Mr. Big dans la forme et qui, dans l’esprit qui l’anime, s’inscrit dans la droite lignée des Chickenfoot ou Black Country Communion. Une recette qui pourrait bien les mener au succès, c’est en tout cas tout le mal que nous pouvons leur souhaiter, ce trio étant aujourd’hui devenu le groupe principal des trois hommes.

On en parle ci-après avec Billy Sheehan…



Nouvelles Du Front   

Trois visages qui envoient du rêve



Regardez bien ces visages. Vous les reconnaissez ? Si la réponse est « non » ou « oui, mais pas tous », on fait les présentations : de gauche à droite, vous voyez Mike Portnoy, Billy Sheehan et Richie Kotzen. Et à eux trois ils pourraient bien fonder un groupe, non ? Un batteur, un bassiste et un guitariste au beau filet de voix ; c’est le genre de combinaison qui peut marcher…

Eh bien, c’est ce qui semble être en train de se monter et, on ne sait pas ce que ça vous fait mais, de notre côté, quand on s’est mis à imaginer la chose, on a fait ce calcul : un ancien de Dream Theater + un actuel et un ancien de Mr Big = trois mecs de grands talents doués aussi d’un vrai feeling = silence autour de nos bureaux et… Écarquillement oculaire + mâchoire tombante… Ouah !

On vous explique le pourquoi et le comment dans la suite…



Interviews   

Billy Sheehan (Mr. Big) fights for food!


Here we are. I’m ecstatic to come back to Radio Metal for this new season of Heavy Metal Food! Last season, I hope I have managed to make you want to spend more time in your kitchen. I was pleased to meet many of you at our very own Hellfest. I did get laughed at here and there by walking around the crowd with my Vichy Saint-Yorre bottle and my club sandwiches, but those who have joined me in my fight to eliminate fast-food from their life have proven to me that I wasn’t preaching in the desert.

This new season will be 100% organic and 100% militant because I’m convinced that our current food is our daily poison. My team and myself have spent the summer collecting information and accounts from scientists, doctors, farmers and consumers. We’ve been taking risks in our field-investigation to break the omertà put in place by the powerful giants of the food industry. The material we have managed to collect unfortunately goes beyond any doubt. The situation is catastrophic but we still have a small chance to fix it. Eating healthy food will be our main weapon to survive the plague of daily stress and diseases.

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