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Interview   

Little Caesar : une carrière en grand huit


Si les plus grandes maisons de disques ont su propulser certains groupes dans l’Olympe du rock n’ roll, elles ont tout autant pu se rendre responsables de naufrages quasi-homériques. Little Caesar est le modèle type du groupe promis à une grande carrière, avec un démarrage des plus prometteurs, signé sur la major Geffen Records, produit par le légendaire Bob Rock, soutenu par les pontes de l’industrie qu’étaient John Kalodner et Jimmy Iovine, avant que tout ce beau monde n’entre dans des bagarres, se vautrent dans l’égocentrisme et le cynisme, et se prennent les pieds dans le tapis des rachats de marque. Ajoutons à cela une industrie du rock en pleine transition entre les années 80 et 90. Heureusement, modestement, après une reformation dans les années 2000 par amour de la musique, Little Caesar est toujours là.

S’il nous parle dans un premier temps du nouvel album Eight, et son blues rock chaleureux et authentique, c’est finalement cette histoire de Little Caesar, à la fois rageante et passionnante, que nous raconte le chanteur Ron Young ci-après. D’une session d’écoute où Young aurait peut-être mieux fait d’éviter de l’ouvrir, à un Gene Simmons ravalant ses paroles au sujet du bien fondé de porter le bouc ou pas, en passant par des secrétaires effrayées par le look du groupe… le récit du frontman est riche en enseignements et anecdotes ! Et cerise sur le gâteau : il termine en nous racontant son expérience éphémère d’acteur, lui valant de fracasser une queue de billard sur la nuque d’Arnold Schwarzenegger dans une célèbre scène de Terminator 2…

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News Express   

Gene Simmons (KISS) rend hommage à Lemmy Kilmister


Gene Simmons, le bassiste/chanteur de KISS, a posté le message suivant sur le compte Facebook de son groupe en hommage à Lemmy Kilmister, décédé le 28 décembre dernier. Voir le message…



News Express   

Gene Simmons (KISS) : « Ce n’est pas l’industrie qui a tué la musique, ce sont les fans. »


Au cours d’un entretien avec Télérama, le chanteur-bassiste de KISS Gene Simmons – qui montre à plusieurs reprises au cours de l’interview qu’il a toujours la langue bien pendue – affirme que « ce n’est pas l’industrie qui a tué la musique, ce sont les fans. » Lire l’extrait…



Interview   

Eric Singer (Kiss) : le fan sous le maquillage


Eric Singer - KissKiss, le groupe auto-proclamé le plus grand au monde, fête depuis l’année dernière les quarante ans de son tout premier opus sorti en 1974. Et comme avec Kiss les fêtes peuvent durer longtemps, très longtemps, la tournée se poursuit cette année avec notamment un passage au Zénith de Paris le 16 juin prochain. A l’occasion de cette venue dans l’Hexagone, nous avons eu l’occasion de parler au batteur Eric Singer, le membre qui a roulé le plus longtemps sa bosse au sein de Kiss, comme il le précise lui-même, en dehors des irremplaçables Gene Simmons et Paul Stanley, mais qui avant tout est aussi un fan qui ne cache jamais son enthousiasme d’avoir la chance de jouer pour « les meilleurs fans au monde » avec un groupe dont il a acheté le premier album au moment de sa sortie et qu’il allait voir en concert lorsqu’il avait tout juste seize ans.

Le respect envers le groupe, les fans mais aussi les membres passés est partout dans l’entretien qui suit. Ce qui ne l’empêche pas de parler franchement lorsqu’il s’agit d’évoquer l’ombre du line-up original qu’on a (trop souvent) tendance à faire planer au-dessus du groupe ou les polémiques sur des histoires de maquillage. Eric Singer est sincère, expansif et sait trouver les arguments. En tout cas le batteur semble motivé par une vraie passion pour le groupe, même s’il n’occulte pas la réalité du business, et ne serait pas contre donner un successeur à l’album Monster sorti en 2012, n’en déplaise à Paul Stanley…

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News Express   

Paul Stanley (KISS) : « Nous sommes l’essence du rock’n’roll »


James Tobin de Yahoo! 7 TV s’est entretenu avec Paul Stanley et Gene Simmons, respectivement chanteur/guitariste et bassiste de KISS, durant la tournée japonaise du groupe américain. « Nous sommes l’essence du rock’n’roll parce que nous saluons tout ceux qui nous disent ce que nous devrions faire avec le doigt du milieu » explique Paul Stanley. « Tout le monde n’aime pas ce que l’on fait, c’est vrai. Tout le monde n’aime pas Jésus » déclare quant à lui Gene Simmons.



Interview   

Ace Frehley : les mains sur la guitare, la tête dans les étoiles


Il aura fallu attendre cinq années pour voir Space Ace, comme on l’appelle parfois, envahir à nouveaux les bacs des disquaires (si, si, ça existe toujours !) et nos lecteurs CD et mp3. Il faut croire que le guitariste de l’espace n’a pas encore appris à composer à la vitesse de la lumière, mais cela reste toujours plus rapide que les vingt années qui ont mené à Anomaly, son précédent opus solo. Vingt années pendant lesquelles il n’aura fourni qu’un unique album avec Kiss, le Psycho Circus transformant l’essai d’une reformation de courte durée. La machine serait donc en train de s’accélérer, comme dans une course poursuite avec ses anciens collègues de Kiss qu’il ne manque pas de provoquer sur la qualité de leurs albums. En 2009 Frehley sortait son premier disque depuis son dernier départ du groupe en même temps que Sonic Boom et voilà aujourd’hui, deux ans après Monsters, qu’il remet le couvert avec Space Invaders, misant sur un son et une image vintage qui renverront ses fans à ses jeunes années.

Ace Frehley nous parle donc de ce nouvel opus qui fait plus que jamais la part belle au thème – qui lui est si cher – de l’espace, évoque certains traits de sa personnalité et revient sur sa relation avec ses anciens collègues de Kiss, Paul Stanley et Gene Simmons, avec qui il s’estime « toujours amis. »

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Interviews   

Ace Frehley has his hands on his guitar and his head in the stars


It took five years for Space Ace, as he’s sometimes called, to come back and take over our records shops (yes, those still exist) and mp3 players. Apparently the guitarist from outer space hasn’t yet learned to compose at the speed of light, but at least this time it didn’t take him twenty years – the time we had to wait for him to release Anomaly, his previous solo album. In those twenty years, all he put out was a single album with Kiss, Psycho Circus, the highlight of a short-lived reformation. The machine is running more smoothly now, and the man seems to be engaged in a race with his former Kiss colleagues, whose albums he never misses an opportunity to criticize. In 2009, Frehley released his first record since his departure from the band at the same time as Sonic Boom, and now, two years after Monsters, he’s back with Space Invaders, banking on a vintage sound and imagery that will remind his fans of his younger years.

In the following interview, Ace Frehley tells us all about this new record, which mostly revolves around his favourite subject – space –, mentions a few of his personality traits, and gives us a few details regarding his relationship with his former Kiss mates, Paul Stanley and Gene Simmons, with whom he considers to be “still friends”.

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Potin   

Les potins de Miss Claudia : le repos du guerrier mérité au bord de la piscine


AVERTISSEMENT : Le mois dernier, pour la première compilation mensuelle des potins de Miss Claudia, la rédaction, par souci de relever le niveau à l’entrée, avait entièrement modifié l’introduction de l’article. L’explication avancée auprès de l’auteure : elle est nulle en préliminaires. Forcément, elle l’a mal pris. Alors, pour nous faire pardonner, on lui a lâché la bride pour ce mois. Bonne lecture.

Mes amours, on est maintenant début août et j’ose espérer que tout le monde a bien profité de ce caniculaire mois de juillet pour parfaire son bronzage en lisant ses potins. Bien sûr vous avez tous pensé à votre crème solaire parce que ta petite peau elle est fragile mon petit, et le soleil c’est un peu comme un pédophile. Il parait gentil mais dès que t’as le dos tourné…

Ah, j’entends dans le fond des réclamations. Les aoûtiens ont l’air mécontents. Comment ça, vous n’êtes pas encore partis en vacances ? Vous avez peur de ne pas avoir de potins métalliques à lire sur la plage ? Mais enfin mes chéris, vous pensiez vraiment que j’allais vous laisser entretenir votre cancer de la peau sans potins ?!

Voici donc, pour les aoûtiens, et aussi pour les autres, parce que je vous aime tous très forts, les potins de juillet.

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Potin   

Les potins ne prennent pas de vacances


L’été. Alors que le thermomètre bouillonne, la vie, elle, semble gelée, figée par des températures propices à de longues et paresseuses pauses à l’ombre d’une tonnelle. Et dès lors, plus question de bouger, il ne faudrait pas que les quelques centimètres carrés d’épiderme de votre bras ratent la prochaine brise en le déplaçant outre mesure. Et là, vous vous rendez compte que, pour occuper votre hypo-activité, le seul objet capable d’exciter vos cellules grises qui ne seraient pas encore entrées en fusion, c’est le magazine pipole de votre petite soeur/copine/femme/maman/tata…

Comment ça, c’est du sexisme ? Mais pas du tout… Comme le metalleux mâle, affaibli par une chaleur peu compatible avec son teint pâle cultivé dans des zones où l’hiver ne prend jamais fin, peut parfois se laisser dominer par son « côté féminin » avec un air de « je ne lis ça que pour mieux m’en moquer », il est aussi loin d’être exclu que même la metalleuse à la taille ceinte d’une cartouchière achetée chez Gaga O’Rock ne peut pas toujours résister à l’envie de se laisser aller à un côté « gonzesse », « non mais, meuf, faut que j’te dise ! ». C’est d’ailleurs l’une d’entre elles, Miss Claudia (célèbre pour ses « points Claudia » pendant notre live-tweet sur le dernier Hellfest) qui vous a concocté pendant tout le mois de juin, pendant que l’été faisait sa timide, en attendant de se ramener avec ses potes soleil, mer, plage, sauveteurs musclés, etc. pour qu’aujourd’hui vous puissiez vous abandonner à la mollesse d’une chaude journée de juillet en vous laissant aller à une séance de potins piochés dans la sphère metal.

Miss Claudia vous conte les dernières cancans.



Nouvelles Du Front   

Axl Rose « explique » les retards de Guns N’ Roses sur scène


« Explique » entre guillemets parce qu’en fait on n’a toujours pas bien compris les arguments du chanteur de Guns N’ Roses sur le sujet. D’ailleurs, comme son raisonnement nous a remémoré le schéma de pensée parfois utilisé par Jean Claude Van Damme, nous avons décidé d’illustrer cet article en conséquence…

Dans une interview accordée à l’émission That Metal Show sur VH1 Classic, Axl Rose s’est en effet exprimé sur ces fameux retards. Cet entretien s’est déroulé à Miami le 29 octobre et a été diffusé aux Etats-Unis vendredi dernier. Ainsi, lorsqu’on l’interroge sur les retards continuels des Guns N’ Roses sur scène, le frontman se justifie de la manière suivante.

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  • Red Hot Chili Peppers @ Lyon
    Queens Of The Stone Age @ Lyon
    Kiss @ Lyon
    Skid Row @ Lyon
    Hollywood Vampires @ Paris
    Depeche Mode @ Lyon
    Scorpions @ Lyon
    Thundermother @ Lyon
    Ghost @ Lyon
    Spiritbox @ Lyon
    Metallica @ Saint-Denis
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