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Interviews   

Slash: creative fire


After many bands, projects, and collaborations, it looks like guitar legend Slash, aka Saul Hudson, has found a place to lay down his hat again. But don’t get him wrong: although he gave it his name (or his pseudonym, rather), his latest project is a band in its own right, with “a definite chemistry”. In the following interview, the guitarist evokes something he hasn’t “really felt this since the early Guns N’ Roses days” – a strong statement. “Free”, “comfort”, “understanding” – the words the man in the hat uses explain why everything seems to be working so well with singer Myles Kennedy and the Conspirators (with Todd Kerns on bass and Brent Fitz on drums). For Slash, this is a “blessing”, a collaboration that came naturally, without being planned. The best things in life are even better when you don’t expect them.

From this union came a first album, Apocalyptic Love, then a second, World On Fire, released last September, full to bursting with rock n’ roll. Slash in all his glory. Slash in all his generosity. We were lucky enough to question him on all these subjects and many more (he confessed, in particular, to being a Gojira fan). He answered in his surprisingly soft, calm voice, so at odds with the nervousness of his music, and yet perfectly in accord with the man’s genuine class.

Read the interview…



Interview   

Slash : le feu créatif


Après moult groupes, projets et collaborations, on dirait bien que la légende vivante de la guitare Slash, alias Saul Hudson, a à nouveau trouvé où poser ses valises. Et que l’on ne s’y méprenne pas, si cette formation porte le nom de son pseudonyme, ça n’en fait pas moins un groupe à part entière avec une « une véritable alchimie ». Dans l’interview qui suit, le guitariste va jusqu’à parler de quelque chose qu’il n’a « pas vécu depuis les premiers jours de Guns N’ Roses. » Autant dire que la déclaration est forte. « Libre », « confort », « compréhension », voilà une série de termes employés par le chapeauté et qui sont peut-être autant d’indices qui expliquent pourquoi tout marche si bien avec le chanteur Myles Kennedy et les Conspirators (avec Todd Kerns à la basse et Brent Fitz à la batterie). Slash parle même de « bénédiction », faisant remarquer que cette collaboration s’est faite naturellement, sans avoir vraiment été prévue au départ. Les meilleurs choses dans la vie ne sont-elles pas encore meilleures quand elles nous viennent sans qu’on s’y attende ?

Le résultat, ce fut un premier album, Apocalyptic Love, puis un second, intitulé World On Fire, qui arrive le 15 septembre prochain, bourré à craquer de musique, gorgé de rock n’ roll. Slash dans toute sa splendeur. Slash dans toute sa générosité. Nous avons pu le questionner sur tout ceci et plus encore (il nous avouera notamment être fan de Gojira), et lui de nous répondre de sa voix étonnamment douce, calme et posée, contrastant avec la nervosité du son rock mais en parfaite adéquation avec la grande classe qui émane du personnage et de l’idée que l’on peut s’en faire.

Lire l’interview…



Potin   

Il va réveiller des gens morts


Quand, en octobre dernier, Slash parlait des projets qu’il rêvait de faire naître avec Slasher, sa société de production de films, il parlait de « films qui vous ramèneraient au temps de ces films d’horreur qui vous filaient vraiment une trouille d’enfer » en parlant de l’époque des films de genre réalisés dans les années 70 et 80.

Du coup, est-ce vraiment un rêve qui devient réalité que de produire une énième adaptation cinématographique du roman de Mary Shelley, Frankenstein ? Mais attention : une version moderne, dans laquelle le savant ne s’appelle pas Victor Frankenstein mais Victor Franklin, ce qui va vraiment nous changer !

En tout cas, monsieur Haut-de-Forme est tout fier de nous annoncer qui sera la star de son film : Haley Joel Osment, le gamin qui, il y a douze ans, voyait des gens morts dans Sixième Sens, et qui, maintenant adulte, va pouvoir réveiller les morts dans Wake The Dead. Et à la réalisation ? Jay Russell, réalisateur il y a quatre ans du Dragon des Mers, l’histoire d’un gamin dont le meilleur copain est le monstre du Loch Ness.

Oui Slash, on va vraiment avoir une trouille d’enfer…

Animalement vôtre.



Nouvelles Du Front   

Just another Slasher movie


La série des horreurs se poursuit. A croire qu’il se sont tous donné le mot ! Rob Zombie avait ouvert une brèche. Chester Bennington ne faisait que suivre une vieille tradition. Voilà que le plus chapeauté des guitaristes enfonce le clou : Slash ouvre une société de production de films d’horreur. L’ex-Guns N’ Roses et membre de Velvet Revolver, avec un nom de scène comme le sien, semblait bien parti pour balayer un jour les écrans sanguinolents de sa chevelure aux boucles noires mais il est allé par-delà nos espérances.

« J’ai toujours été un grand fan de films d’horreur et j’ai toujours souhaité créer des films qui vous ramèneraient au temps de ces films d’horreur qui vous filait vraiment une trouille d’enfer. » Ce sont donc des films bien mordants, dans le style de ce qu’il se faisait dans les années 70 et 80, que nous préparera Slash avec cette boîte, tout simplement baptisée Slasher Films, avec l’aide de la société Scout Productions (« The Fog of War », Oscar du meilleur documentaire en 2004). Un premier film est déjà en préparation, il s’intitule « Nothing to Fear », écrit par Jonathan W.C. Mills (réalisateur du documentaire « We Were Feared » sur le mouvement punk californien de la fin des années 70), il nous montrera le cauchemar d’une famille fraîchement débarquée dans une petite ville du Kansas et tourmentée par un démon assoiffé de sang. Ça ne paie pas de mine sur le papier pour le moment mais on a quand même hâte de voir le résultat.



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