Passer d’un groupe de reprises à une véritable formation, unie par un même désir de faire, enfin, sa propre musique : voilà le chemin que connait, ou qu’a connu, nombre de formations. Et même arrivé à la quarantaine, cela fonctionne encore. Tel est le cas du quintet nîmois Gut Scrapers, qui, après avoir interprété le répertoire des punks Social Distortion, joue son propre rock’n’loud. Du bon hard rock burné, costaud et aux riffs épais, qui a depuis pris forme sur un premier album, Gimme Your Soul, sorti il y a un an.
Mais Gut Scrapers c’est aussi un groupe qui se qualifie lui-même de « tout-terrain ». Écumant les clubs et les scènes, où l’on a pu les retrouver aussi bien en première partie des Lords Of Altamont que de Sinsemilia, des Fatals Picards ou encore de Crucified Barbara. Mais le combo est plus « hard » que « rock ». D’ailleurs, à choisir, ce dernier se verrait plus sur les planches d’un Hellfest que sur celles des Eurockéennes. Mais avant de voir haut, le groupe garde les pieds sur terre, ne voulant pas brûler les étapes de sa formation. Car quand, comme Gut Scrapers, on vient du sud de la France, faire du metal et en jouer sur scène, ce n’est pas une sinécure.
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