A croire que tous les dix ans, Transatlantic se donne un nouveau challenge. En 1999 le quatuor s’est attelé à son premier album alors que les quatre super stars du prog ne se connaissaient quasiment pas. En 2009, c’est sur The Whirlwind qu’ils ont planché, un album constitué d’un seul morceau de soixante-dix-sept minutes. En 2019, les revoilà en studio pour confectionner ce qui deviendra The Absolute Universe, un concept album constitué là encore d’une seule chanson découpée en chapitres, avec une particularité supplémentaire : il a été décliné en deux versions, une version double et une version simple, les deux ne proposant pas tout à fait la même musique…
La démarche est inédite, mais plutôt que d’une volonté de complexifier les choses, elle émane surtout de leur incapacité à se décider ! Une problématique apparemment récurrente dans ce groupe déjà divisé en deux géographiquement. Pour nous en parler, nous avons échangé ci-après avec le chanteur-claviériste Neal Morse qui a eu la tâche de réduire le double album – la version Forevermore – à un seul disque – la version The Breath Of Life –, lui dont l’inspiration – qu’il considère divine – semble intarissable, au vu de la quantité impressionnante d’albums qu’il a sortis ces dernières années.
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