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Back In Backstage   

Back In Backstage, série 4


Traîner son flycase aux quatre coins du globe provoque des situations imprévisibles et parfois inoubliables. Car il y a le spectacle que le public voit sur scène et il y a aussi tout ce qui se passe hors scène, et qui représente la part la plus importante de la vie d’un artiste. Dans le cadre de la rubrique Back In Backstage, les artistes nous racontent leurs moments insolites passés en coulisse, que ce soit en festival, dans une grande salle ou dans un club miteux, qu’ils soient étranges, effrayants, drôles, ou qu’ils se soient gravés dans leur mémoire pour toute autre raison… et autant dire que ce n’est pas toujours glamour.

Note : certains des témoignages ci-après ont été originellement publiés dans le cadre des numéros 10, 11 et 12 du magazine Radio Metal, tandis que les autres sont inédits.

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Interview   

Soilwork ouvre des portes, mais n’abandonne pas le passé


Il semblerait qu’un certain confort soit en train de s’installer dans le camp Soilwork. Le duo complémentaire de compositeurs-paroliers que forment le chanteur Björn Strid et le guitariste David Andersson se présente désormais comme une valeur sûre, en plus d’un gage de qualité. Et puis avec Övergivenheten, qui à première vue ressemblerait presque à un frère jumeau de Verkligheten, avec ce mot suédois en guise de titre, la reconduite de Thomas « Plec » Johansson au poste de producteur ou ce qui ressemblerait parfois presque à des échos de l’opus précédent. Mais confort ne signifie pas routine et Soilwork parvient toujours à disséminer quelques éléments apportant une forme de fraîcheur.

Moins d’un an après notre précédente entrevue, cette fois pour The Night Flight Orchestra, nous avons retrouvé Björn Strid pour nous parler de ce douzième album, de l’idée d’abandon – puisque telle est la traduction du titre – et de son rapport aux émotions, mais aussi pour creuser un peu plus la relation artistique unique qu’il entretient avec son compère David Andersson.

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Interview   

The Night Flight Orchestra : deuxième dose


La musique de The Night Flight Orchestra a beau être légère et directement inspirée de la frivolité des années 80, elle n’a probablement jamais été aussi importante qu’en 2020 et 2021. A une période où on a dû se confiner et garder ses distances, et où l’idée du voyage est devenue physiquement inaccessible, l’escapisme et le sens de la fête qu’offre l’octet suédois ont pris une tout autre dimension, devenant presque un remède à la morosité de la situation. Le groupe a lui-même dû mettre un terme à la tournée dans laquelle il venait tout juste d’embarquer pour promouvoir son album Aeromantic quand les frontières ont fermé les unes après les autres en mars 2020 (leur dernier concert a d’ailleurs eu lieu le 12 mars à Lyon, soit le jour de l’allocution de notre président annonçant le confinement).

Alors que faire quand on est un groupe, que tout s’arrête du jour au lendemain et que tous nos plans tombent à l’eau ? On fait ce qu’on sait faire de mieux : créer pour offrir aux gens une évasion. Nous avions échangé il y a quelques mois avec le guitariste David Andersson pour évoquer l’EP de Soilwork, A Whisp In The Atlantic. Le voilà de retour, lui et Björn « Speed » Strid, avec l’album Aeromantic II, la suite d’Aeromantic de leur autre projet The Night Flight Orchestra. C’est le chanteur qui cette fois a répondu à nos questions pour parler de l’album, de la pandémie et évidemment d’évasion, mais aussi de pop et de sujets plus légers.

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Interview   

The Night Flight Orchestra : la tête dans les nuages


Quand sortait Internal Affairs (2012), ils étaient peu à croire en The Night Flight Orchestra et son classic rock joué par des pointures du death mélo. Huit ans et cinq albums plus tard, le collectif suédois est désormais signé sur le prestigieux label allemand Nuclear Blast et n’a cessé d’élargir ses rangs et d’étoffer son concept pour proposer une musique rétro plus vraie que nature, gorgée de mélodies catchy, d’un sentiment d’évasion et d’un romantisme mélancolique. La mode du revival des années 80 est entre-temps passé par là, rattrapant The Night Flight Orchestra au vol. Tous les voyants sont désormais au vert pour le groupe et rien ne semble arrêter son ascension.

Avec Aeromantic, The Night Flight Orchestra fait une nouvelle démonstration de son amour et sa maîtrise d’un âge d’or de la musique populaire, à cheval entre les années 70 et 80, mettant un peu plus l’accent sur les claviers, mettant à profit un kit de batterie hautement symbolique ayant servi à Abba et intégrant la participation d’une violoniste. L’objectif des Suédois est clair : devenir un orchestre classic rock jouant dans les stades et les plus grandes salles. Certes, l’objectif est encore loin d’être atteint, mais The Night Flight Orchestra a déjà prouvé que quand on croit en ses rêves, ces derniers pourraient bien finir par se réaliser. On discute de tout cela, et plus encore (le féminisme, le départ du claviériste Richard Larsson, des nouvelles de Soilwork, etc.), avec le guitariste-compositeur-parolier (et gastroentérologue) David Andersson.

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News Express   

Björn Stridd (SOILWORK) déplore les « concerts anniversaires d’album »


Bjorn Stridd, frontman de SOILWORK , déplore la trop grande fréquence des concerts anniversaires d’album, ce que SOILWORK ne souhaite pas faire. En savoir plus…



Interview   

Soilwork : au-delà du réel


Le chanteur Björn « Speed » et le guitariste David Andersson sont des hyper-créatifs, il n’y a pas d’autre explication. Alors que Soilwork retrouvait une stabilité dans ses rangs, ils sortaient coup sur coup, en 2017 et 2018, deux albums avec leur formation rock The Night Flight Orchestra, pendant qu’en parallèle, ils étaient déjà à l’œuvre pour concevoir l’album qui succédera à The Ride Majestic du groupe de death mélodique.

Verkligheten est cet opus, présentant un visage très familier, caractérisé notamment par ce sens aigu de la mélodie scandinave, et à la fois légèrement nouveau, avec des influences plus rock et heavy traditionnelles. Une orientation qui doit visiblement beaucoup au nouveau de la bande : le batteur Bastian Thusgaard. Car si ce dernier a été l’élève de son prédécesseur, Dirk Verbeuren, et qu’il n’a pas à rougir de sa technique, il se démarque par une approche sensiblement plus rock et épurée. Une analyse partagée par Björn Strid ci-après, qui nous parle de ce nouveau chapitre dans l’entretien qui suit, où nous discutons par ailleurs de la notion de réalité et des effets de vases communicants entre Soilwork et The Night Flight Orchestra.

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Interview   

The Night Flight Orchestra à la conquête de l’univers


The Night Flight Orchestra ne chôme pas. Profitant de son intégration dans la grosse écurie Nuclear Blast et surfant sur le succès d’Amber Galactic sorti il y a tout juste un an, revoilà le combo de retour à huit – intégrant officiellement deux choristes – avec un nouvel album dans la continuité directe : Sometimes The World Ain’t Enough, dont le titre pourrait bien être prophétique dans quelques années si le groupe poursuit sur sa lancée…

Mais si The Night Flight Orchestra est passé en vitesse de croisière, son carburant reste toujours le même : s’amuser, et la passion pour une façon de faire la musique qu’il considère comme perdue depuis la fin des années 70/début 80 et qu’il se réapproprie pour la mettre au goût du jour, avec ce sens du romantisme – qui lui aussi semble se perdre – et ses hommages aux femmes en filigrane. On en parle avec le chanteur Björn « Speed » Strid.

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Interview   

The Night Flight Orchestra : voyage à travers l’espace-temps


Quel plaisir de voir The Night Flight Orchestra maintenir le tempo en donnant, deux ans après, un successeur au jouissif Skyline Whispers. Mais la vérité est que ce plaisir est d’abord dans leur camp. Que cette musique soit un prétexte pour faire la fiesta ou qu’elle en soit la simple conséquence, elle a assurément, pour eux, quelque chose de libérateur. Elle est même devenue une source d’équilibre pour le chanteur Björn « Speed » Strid qui, en laissant son côté lumineux s’y exprimer librement, permet à son côté obscur de s’épanouir dans Soilwork. Toute l’histoire du yin et du yang.

Mais cet album, Amber Galactic, c’est avant tout une histoire d’amour, celle pour une époque bien précise – de 77 à 83 -, celle pour la science fiction rétro, celle pour les femmes, celle pour tout ce qui est inutile et donc indispensable… Nous nous sommes donc, une fois de plus, longuement entretenus avec Björn pour discuter de cette belle virée entre potes. L’occasion également à la fin de faire un petit point sur Soilwork.

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Interview   

La science et la conscience d’Allegaeon


On commence à s’en rendre compte, les questionnements sur l’évolution de la science et des technologies, et la convergence de la science avec la science-fiction, fascinent particulièrement en ce moment les artistes, et en particulier dans le metal. Mais quoi de mieux qu’un groupe de death metal technique et progressif pour élaborer tout un concept autour de la notion de conscience dans la robotique ? Surtout dans le cas d’Allegaeon qui a toujours fait des avancées scientifiques son terrain de jeu de prédilection, toujours à la pointe des dernières découvertes, parfois même un peu trop, comme nous le démontrera le guitariste Greg Burgess via une de ses anecdotes dans l’entretien qui suit.

Et en termes d’avancées, musicales cette fois, Allegaeon n’est pas en reste, comme le prouve son nouvel opus Proponent For Sentience qui apporte son lot de nouveautés, entre une sonate découpée en trois chansons jouées avec un orchestre et des influences flamenco du plus bel effet (et qui ont quasiment sauvé le groupe). Mais c’est surtout l’arrivée du nouveau chanteur Riley McShane qui, volontairement sur la retenue sur cet opus, offre les plus grandes perspectives d’évolution pour les américains. Mais laissons Burgess nous en parler en détail dans le long entretien qu’il nous a accordé ci-après.

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Interviews   

Soilwork: bound for life


Björn "Speed" Strid - SoilworkOnly a few weeks after we last talked to him, alongside guitarist David Andersson, we’re back on the phone with Bjorn “Speed” Strid – which makes sense when you realize the man has released two exceptionally good albums in quick succession, with The Night Flight Orchestra and Soilwork. Since we already questioned him about the former, this time we talked about the latter and The Ride Majestic, the new album. Released after the mastodon that was The Living Infinite, their double record from 2013, The Ride Majestic has benefitted from its predecessor from a creative point of view, and in the way the band redefined itself during the experience. But it is also a special album in its own way: not only is it the first without the band’s original bass player, Ola Flink, it was also created in rather tragic circumstances, as the musicians went through the death of several loved ones. Speed tells us how these events have left a mark on the music and the themes of the album, and even mentions his own vision of death.

A few days before this interview was originally posted, Speed made available an interesting two-part documentary on the conception of the album and the origins of the band. This gold mine for the fans, which sometimes delves into intimate details, has inspired a few of our questions, mainly regarding Speed’s ska/reggae past, or the fact that he liked to take naps listening to black metal when he came back from school in his younger years.

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