Le grindcore, né de l’accouplement sauvage du crust punk et du death metal, est sans nul doute une des branches les plus extrêmes du metal. On y trouve les titres les plus courts, les vocaux les plus gutturaux, les sons les plus cradingues, les rythmes les plus rapides et une imagerie très largement puisée dans les thématiques les plus gores. Autant dire que le commun des mortel – même parmi certains metalleux – a généralement le plus grand mal à associer ce genre au cinquième art. Certains s’imaginent d’ailleurs qu’elle est le résultat d’individus écervelés. Pourtant de nombreux musiciens de cette scène ont prouvé tout le contraire. C’est le cas par exemple du très réfléchi frontman de Napalm Death, l’un des piliers du genre (si ce n’est le pilier ?), Barney Greenway qui, à lui seul, casse tous les préjugés associés au genre.
Continuons donc à piétiner les préjugés et interrogeons un des pionniers du grindcore français : Sublime Cadaveric Decomposition. Ça tombe bien, ils étaient présents au Motocultor Festival cette année. C’était l’occasion d’en savoir plus sur leur passion pour le genre et leur vision de celui-ci.
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