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Interview   

Till Lindemann (Rammstein) et Peter Tägtgren (Hypocrisy, Pain) racontent leur coït musical


Lindemann

Quand le chanteur de Rammstein Till Lindemann débarque à Paris pour défendre son projet Lindemann en compagnie de Peter Tägtgren (Hypocrisy, Pain), qui est devenu un ami et un collaborateur musical, au gré de quelques beuveries mémorables, celui-ci se sent comme chez lui. Il aime le charme de Paris, le raffinement de la France et se délecte des restaurants parisiens ainsi que du bon vin, qui lui fait envoyer quelques mots en français, qu’il parlerait volontiers plus que l’anglais s’il maîtrisait mieux la langue de Molière. Sortis d’une bonne bouffe parisienne, les deux compères sont repus et d’excellente humeur, en totale symbiose, avec une complicité évidente et un goût partagé de la déconne, pour nous parler de ce projet commun qui les rassemble aujourd’hui, et tant qu’à faire, nous offrir un moment agréable pour deviser sur la musique et la vie. Ces moments, ils nous l’expliqueront lors de l’entretien, il faut juste les vivre, sans stresser de les voir se terminer. Nous suivons donc ce conseil de manière avisée, et tentons ici de le partager avec vous.

A l’image de Richard Z. Kruspe avec son projet Emigrate, Lindemann est une vraie bouffée d’oxygène pour Till. La machine de guerre Rammstein est certes efficace et ravageuse, mais son arsenal est parfois lourd à porter, mettant un peu à l’écart les envies de chacun pour le bien général. Il est donc temps pour Till de se relaxer un peu, de saisir l’opportunité de ce duo qui n’était au départ pas voué à sortir d’album, pour prendre du bon temps, et parler de sexe, de drogues, d’alcool – comme nous l’évoquons en détails dans notre titre à titre de ce premier album de Lindemann intitulé Skills And Pills – mais aussi pour faire preuve d’une émotion profonde en abordant les thèmes plus tristes, comme les amis proches qui partent et le temps qui passe trop vite. Tout ça avant de repartir au front avec Rammstein à la fin de l’année.

Quant à Peter, c’est lui le maître d’œuvre musical de Lindemann. Le multi-instrumentiste bourré de talent s’est vu accordé le droit de canaliser les idées mélodiques de Till pour les associer à son univers musical, un monde où convergent guitares lourdes sous-accordées, claviers new wave, orchestrations opulentes et percussions électroniques cinglantes, fort de ses expériences dans Pain et Hypocrisy, où il est déjà l’homme à tout faire.

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News Express   

Till Lindemann (RAMMSTEIN) et Peter Tägtgren (PAIN, HYPOCRISY) forment un nouveau groupe


Le chanteur du groupe de metal industriel allemand RAMMSTEIN Till Lindemann vient d’unir ses forces avec Peter Tägtgren, producteur, multi-instrumentiste, et surtout leader des groupes HYPOCRISY et PAIN, en vue d’un nouveau projet sobrement nommé LINDEMANN, et dont une d’abord énigmatique page Facebook créée le 19 décembre dernier, vient de publier une photographie qui confirme la collaboration entre les deux musiciens.

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Interviews   

Anette Olzon: The age of light


Anette Olzon is a sensitive woman. You just have to count how many times she uses the word “sad” to understand how the events of her personal and professional life have affected her. However, the singer shows real positivity today, at the dawn of a solo career that can finally bloom now that Nightwish is a thing of the past. Shine, Anette Olzon’s first post-Nightwish record, is an ode to optimism, a hymn to positive feelings, far removed from metal. After various collaborations, this is a second step forward that proves the singer has become rather sought-after.

Speaking of Nightwish, how could we possibly talk to the singer without mentioning her former band? Anette Olzon is sticking to her guns: like Tarja Turunen, she was “fired in a bad way”. She confesses feeling really close to her predecessor because of their similar stories and the fact that “many people still believe that we are the bad ones, […] that we are the divas, etc”. But Nightwish belongs to the past now, and Anette Olzon readily talked to us about the genesis of her first solo album.

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Interview   

Anette Olzon : l’âge de la lumière


Anette Olzon est une femme sensible. Il suffit de voir à combien de reprises celle-ci utilise le terme « triste » et à quel point les événements de sa vie personnelle et professionnelle l’ont de toute évidence affectée. Toutefois, la chanteuse démontre un réel positivisme aujourd’hui, à l’aube d’une carrière solo qui peut enfin éclore depuis que Nightwish n’appartient plus qu’au passé pour elle. Shine, premier opus post-Nightwish d’Anette Olzon est une ode à l’optimisme, un chant empreint de sentiments positifs et loin du metal. Un premier pas vers l’avant, déjà marqué par des demandes de collaborations diverses et variées, prouvant que la chanteuse est aujourd’hui une artiste à la notoriété certaine.

D’ailleurs, comment discuter avec elle sans évoquer son ancien groupe ? Anette Olzon persiste et signe : tout comme Tarja Turunen elle a été « salement virée ». Et pour cette raison avoue se sentir très proche d’elle, par leur histoires similaires et le fait que « beaucoup de gens continuent de penser que c’est nous les méchantes, […] que nous sommes des divas, etc. » Mais Nightwish c’est le passé, et c’est une Anette Olzon aussi conviviale qu’à ses débuts avec son ancien groupe qui nous évoque, évidemment, la genèse de ce premier album solo.

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Interviews   

Amorphis revamp their environment and switch eras


Even though Amorphis remain satisfied of their evolution and of their last four albums, the Finns felt it was time to shake up their environment a little for this new album, Circle. On the admission of guitarist Esa Holopainen, Amorphis’ working process was a tad to run in, to the point that it was starting to ruin their ability to create surprise. The result was a series of well-constructed albums, which always managed to convey the band’s unique personality, but were admittedly a bit predictable.

Thus the need to revise the working process when the time came to record the album. For the band, this is the first step towards a new era, even if, in point of fact, they haven’t gone as far as changing the music with Circle – at least not in the proportions the fans were used to with Amorphis in the first half of their career. The guitarist talks about this topic, and covers the peculiar career of Amorphis, as well as the band’s collaboration with lyricist Pekka Kainulainen, a rather original bloke.

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Interviews   

Peter Tägtgren goes back to te essence of Hypocrisy


Peter Tägtgren is a man to be reckoned with in the metal world – because of his work with Hypocrisy, an influential melodic death band, because of the success of his electro-industrial project, Pain, but above all because he’s everywhere! Peter Tägtgren is always doing something, whether it is releasing an album, touring with one of the two above-mentioned bands, or working as a producer. This year alone, he’ll release an album with Hypocrisy, start working on Pain’s new record, have his name associated with Amorphis’ new record, which he produced, and with Children Of Bodom’s latest effort as a vocal producer, and so on.

After all, it may well be the key to success: always having one’s name in the metal news. It’s probably not his main goal, though, but just a consequence of his hyperactivity. He himself admits that he can’t stop thinking about business, even on holiday, because “the industry never sleeps or take a vacation”. In order to succeed, one needs to always catch the right train.

One of the risks with hyperactivity is to lose sight of the essence of things. But today, with End Of Disclosure, it’s precisely the essence of Hypocrisy that Peter Tägtgren means to go back to – the formula that characterized him in the 90’s and allowed his band to leave a durable mark on the international metal landscape.

More on that after the jump…



Interview   

Amorphis rénove son environnement et change d’ère


Si Amorphis reste satisfait de son évolution et de ses quatre derniers albums, les Finlandais ont ressenti le besoin, pour son nouvel album Circle, de se bousculer un peu. De l’aveu du guitariste Esa Holopainen, la manière de travailler d’Amorphis était devenu un peu trop rodée, au point de nuire à sa capacité à surprendre. En a résulté une suite de disques certes réussis et véhiculant, quoi qu’il arrive, toujours la personnalité unique d’Amorphis, mais néanmoins quelque peu attendus.

D’où une remise en question de son mode de travail lorsque est venu le moment d’enregistrer l’album, premier pas dans une nouvelle ère pour le groupe, même si, dans les faits, le renouvellement musical n’est pas encore vraiment atteint avec Circle. Tout du moins, pas dans les proportions auxquelles Amorphis a habitué ses fans dans la première moitié de sa carrière. Le guitariste évoque cela auprès de nous et revient sur la carrière particulière d’Amorphis et sa collaboration avec Pekka Kainulainen, en charge des paroles, un personnage apparemment bien original…

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Interview   

Peter Tägtgren renoue avec l’essence d’Hypocrisy


Peter Tägtgren est un incontournable de la scène metal. D’une part pour son travail au sein d’Hypocrisy, un groupe de death mélodique influent, d’autre part pour le succès de son projet électro-industriel Pain, mais aussi et surtout pour son omniprésence ! Peter Tägtgren a toujours, à tout moment, une actualité, qu’elle soit liée à une sortie de disque ou une tournée avec un des deux groupes précités ou via son activité de producteur. Rien que cette année, il sort un album avec Hypocrisy, prévoit de se mettre sur le prochain album de Pain, aura son nom associé au nouvel album d’Amorphis qu’il a produit et celui de Children Of Bodom pour lequel il a fait la production vocale, etc.

Après tout, c’est peut-être ça la clef du succès : faire en sorte d’être toujours là, quelque part, dans l’actualité des fans de metal. Sans doute n’est-ce pas là son but premier mais juste une conséquence de son hyperactivité. Lui-même reconnait que, même en vacances, il ne peut s’empêcher de penser à son business, car « l’industrie ne prend pas de vacances. » Pour réussir, il faut savoir éviter de prendre un train de retard.

Mais dans la suractivité, il est aussi facile de perdre l’essentiel de vue. Or, aujourd’hui, avec End Of Disclosure, c’est justement l’essence d’Hypocrisy que Peter Tägtgren a voulu retrouver, cette formule qui le caractérisait dans les années 90 et lui a permis de s’inscrire durablement dans le paysage du metal international.

On en parle juste après…



Vide(o)rdure   

Pain : alcool, gonzesses, musique et… alcool


Ça y est ! Voilà de l’info officielle dont se délecteront tous les fans de Pain, ou plus particulièrement de Peter Tägtgren, concernant ce DVD live annoncé il y a deux mois, qui suit la tournée « You Only Live Twice » débutée en octobre 2011. Ce DVD (et Blu-Ray) baptisé « We Come In Peace », dont vous pouvez voir l’artwork ci-contre (qualité capture d’écran, désolé, on n’a pas mieux pour le moment) sortir via Nuclear Blast le 5 novembre par chez nous. Il contiendra le concert donné au Debaser Medis de Stockholm (Suède) en novembre 2011 et certaines parties du concert au Masters Of Rock Festival de juillet 2012, ainsi que des images filmées en coulisses.

Et c’est bien là-dessus que semble déjà s’appuyer la comm’ sur cette sortie via un trailer vidéo qui fleure bon l’esprit bon enfant – enfants de chœur même, où on ne voit que de jeunes gens sages, bien élevés, avec une saine hygiène de vie…

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En Tournée Avec   

En tournée avec Pain : les vacances de Peter Tägtgren


Pain fait actuellement la promotion de son dernier album, You Only Live Twice, dans le cadre de sa tournée européenne. Nous avons eu le privilège d’accompagner le groupe durant trois jours à l’occasion du passage de cette tournée par la France. Un voyage qui nous aura également permis de suivre Engel, qui ouvre chaque soir pour Pain et partage leur tourbus. Ce reportage a été effectué dans des conditions idéales pour vous offrir un regard réaliste sur les tournées puisque nous avons littéralement vécu aux côtés des deux groupes durant ces trois jours : dans les salles de concert, en loges tout en dormant dans le tourbus.

C’est parti pour la visite…



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