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Interview   

Les Tambours Du Bronx, metal au propre comme au figuré


Mais évidemment, qu’on l’attendait ce projet. Sans le savoir, peut-être, mais on l’attendait. Voilà plusieurs années maintenant que, à chaque fois que l’on parle des Tambours Du Bronx dans la sphère rock, on évoque leur collaboration avec Sepultura. Et il n’y a pas que le public, le groupe lui même espérait qu’une telle expérience se reproduise. C’est pourquoi, l’embryon même de ce nouveau spectacle Weapons Of Mass Percussion a suffi pour convaincre rapidement une équipe de se former. Il n’est pas anodin que Reuno (Lofofora), au planning pourtant déjà plein à craquer, se soit plié en quatre afin de se rendre disponible : « Quand on te propose un truc comme ça, il faut être le roi des nazes pour refuser, même si je lui ai dit que la raison voudrait que je dise non, parce que j’avais déjà trop de projets en route et que je n’avais pas le temps du tout pour faire ça. Mais je ne pouvais absolument pas dire non ! » nous disait-il récemment. Il en va de même pour Stéphane Buriez (Loudblast) et Franky Costanza (Blazing War Machine), dont on se demandait pour quel projet d’envergure internationale il jetterait son dévolu après sa séparation avec Dagoba.

Car l’idée que les Tambours soient rejoints, le temps d’une tournée, d’un album, voire d’un bout de carrière, par un groupe de metal coulait tellement de source que l’on s’étonnerait même que cela ne se soit pas fait plus tôt. Car les Tambours Du Bronx ne sont pas qu’un groupe de percus, c’est un groupe de metal à part entière, au sens propre comme au figuré.

Entretien avec Dom qui délaisse son bidon pour retrouver sa guitare sur ce spectacle, Stéphane et Franky, qui partagent avec nous leur enthousiasme vis à vis de cette aventure et se confient quant aux challenges personnels et collectifs qu’elle représente.

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News Express   

Motocultor 2018 : SEPULTURA et les TAMBOURS DU BRONX feront un concert commun


La prochaine édition du Motocultor Open Air se tiendra du 17 au 19 août 2018. En savoir plus…



Vide(o)rdure   

Patton, bloody Patton


C’est peu dire que Mike Patton est un hyperactif musical. Après plus de vingt-cinq ans de carrière, il ne manque jamais d’occupation. Ces derniers mois, on l’a vu préparer la sortie d’un live de Fantômas, un nouvel album de Tomahawk, un nouvel album solo pour la B.O. d’un film, débuter un nouveau projet avec le guitariste de The Dillinger Escape Plan, et on apprend qu’il interprétera avec Faith No More, au mois de novembre, au Chili, l’intégralité de l’album King For A Day. Ouf !

Et au milieu de tout ça, il a le temps de se rendre au festival Rock In Rio où il a interprété, le 24 septembre dernier, son album Mondo Cane, et, au lieu de rentrer ensuite chez lui pour se reposer (mais, non, pas son genre), il est resté sur place pour faire un petit tour sur scène avec Sepultura, le lendemain, dans le même fest, accompagné des Tambours du Bronx pour égayer le tout…

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Interviews   

Sepultura: Andreas Kisser respects the past, lives in the present and turns towards the future


If there’s something worth remembering in the following interview, it’s that Andreas Kisser, Sepultura’s leader and guitar player, is firmly anchored in the present, while being resolutely turned towards the future. He underlines that philosophy several times: “The most important thing is the present”, and “We’re working on Sepultura’s future, not on the past”, even if “we respect our past”. There are many people who would like to impose his past and that of his band on his shoulders: fans, journalists, and of course, Max Cavalera, his former bandmate, who made a myriad statements last year regarding a more that hypothetical reformation of the band in its original line-up.

As a result, Sepultura assert their position, not only with press statements and a video, but also with an album, Kairos. As Kisser confirms himself, the concept – a concept revolving around time, which is relative and littered with events that build the future, ours as well as the band’s – is directly influenced by the 25 years he spent in the Brazilian band. The music itself is efficient and full of good riffs. It’s no surprise the coach refuses to modify the team. He has every reason to be proud of said team, which has decided to remain in the field and go always forward.

True, Sepultura did reach a remarkable artistic summit once. But this is no reason to be blinded by the past and to refuse to see what good things the band can still offer nowadays.

But Andres Kisser will explain that better.

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Interview   

Sepultura : Andreas Kisser respecte le passé, vit le moment présent et se tourne vers l’avenir


S’il y a bien une chose qui ressort de l’entretien qui suit, c’est qu’Andreas Kisser, le guitariste et meneur de Sepultura, se tient bien ancré dans le présent tout en étant résolument et fermement tourné vers l’avenir. Il insiste à plusieurs reprises : « la chose la plus importante, c’est le présent » et « on travaille sur le futur de Sepultura, pas sur son passé » même si « on respecte notre passé. » Il est clair que nombreux sont ceux qui veulent lui imposer le poids de son passé et de celui de son groupe : les fans, les journalistes et, bien entendu, Max Cavalera, son ancien compagnon de jeu, avec le flot de déclarations que ce dernier a déversé l’année dernière au sujet de la plus qu’hypothétique reformation du groupe avec son line-up d’origine.

Résultat, Sepultura affirme sa position, pas uniquement avec des déclarations ou une vidéo mais bel et bien avec un album : Kairos. Tout d’abord le concept, directement influencé, comme Kisser le confirme, par les 25 années de carrière qu’il a passées au sein du groupe brésilien. Un concept sur le temps, tout relatif et jonché d’événements qui construisent l’avenir, notre avenir, celui du groupe. Puis la musique : efficace et plein de bons riffs. Il n’est pas étonnant que le leader refuse de changer son équipe. Une équipe dont il est fier et qui, elle, a choisi de rester sur le terrain de jeu et veut aller de l’avant.

Sepultura, il fut un temps, a atteint un sommet artistique remarquable, c’est indéniable, mais ce n’est pas une raison pour refuser de voir, aveuglé par le passé, ce que le groupe a de bon à proposer aujourd’hui.

Laissons maintenant la parole à Andreas Kisser.

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