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Interview   

Le coup de foudre selon Diamond Head


Diamond Head est l’un des groupes « confidentiels » les plus influents de l’histoire du metal. Ce grâce à un album, originellement conçu pour être une démo : Lightning To The Nations. Pourquoi influent ? Parce qu’il a notamment laissé son empreinte sur le plus grand groupe de metal de tous les temps, un certain Metallica. On y reconnaît en effet le goût du riff incisif et des structures épiques, presque progressives, qui ont participé à la marque de fabrique du quatuor de San Francisco. Lars Ulrich, fan de la première heure, et ses collègues le lui ont bien rendu avec leurs célèbres reprises, dont le classique « Am I Evil? ».

Quarante ans après, force est de constater qu’à part le son, les compositions de Lightning To The Nations n’ont pas pris une ride. Alors, pendant que le monde du spectacle vivant est à l’arrêt, pour fêter comme il se doit l’anniversaire, Diamond Head a décidé de le réenregistrer et de donner un coup de jeune à son classique, mettant à profit l’expérience de ses membres et notamment de son talentueux chanteur-producteur, agrémenté de quatre reprises pour, à leur tour, rendre hommage aux groupes qui ont marqué, chacun à leur manière, la musique et la carrière de Diamond Head.

Nous avons échangé avec le guitariste Brian Tatler, leader du groupe et dernier rescapé du line-up de 1980, afin qu’il nous parle de ce Lightning To The Nations 2020, de la magie et de l’impact de l’album original, de Metallica, etc.

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Interview   

Diamond Head : un train d’enfer


Et si on commençait enfin à envisager Diamond Head comme plus qu’un « groupe qui a influencé Metallica et dont Lars Ulrich était fan » ? Après tout, si le célèbre batteur a tant apprécié le groupe anglais dans ses jeunes années, c’est pour une bonne raison. Et une bonne raison de dépasser cette étiquette qui lui colle à la peau, Diamond Head en offre une belle aujourd’hui : The Coffin Train. Un huitième album, mais le second depuis la renaissance qu’a représentée l’album sans titre de 2016. En trois ans, fort de deux jeunes recrues – le bassiste Dean Ashton et surtout l’impressionnant Rasmus Bom Andersen au chant – lui ayant apporté une énergie, une fraîcheur et un enthousiasme renouvelés, Diamond Head a gagné en assurance pour livrer ce qui s’apparente à la parfaite combinaison de heavy metal classique et moderne.

Avec comme héritage des hits de la trempe d’« Am I Evil? » et débarquant avec un nouvel album d’une telle qualité, la bande à Brian Tatler a aujourd’hui toutes les cartes en main pour largement conquérir le cœur des metalleux. Alors qu’ils s’apprêtent à fêter les quarante ans de Lightning To The Nations, leur premier album, il n’est jamais trop tard pour prendre le train en marche.

Dans l’entretien qui suit Brian Tatler nous parle de The Coffin Train, d’un groupe cumulant désormais fougue de jeunesse et expérience de vétéran, mais aussi de quarante ans de New Wave Of British Heavy Metal, avec son lot d’introspection.

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Nouvelles Du Front   

Jim Marshall : plus qu’une marque


On aurait presque oublié qu’il existait un homme derrière ce nom. Certes, il n’existe pas un jeune guitariste de rock qui n’ait pas branché ou rêvé de brancher son jack dans un Ampli Marshall. Mais Jim Marshall aura été dépassé par sa propre création, dépassé par la popularité de l’Ampli Marshall. A tel point que Marshall est devenu dans l’imaginaire collectif plus qu’une marque, un produit en soi, presque un synonyme de l’ampli lui-même. On ne joue pas sur un Ampli Marshall. On joue sur un Marshall.

C’est là toute la réussite de Jim Marshall. Au-delà de sa popularité, son idée a dépassé son statut de marque et est devenu un symbole indissociable de notre univers musical rock et metal. C’est pourquoi le décès hier de Jim Marshall à l’âge de 88 ans a ému le monde du rock qu’il a contribué à transformer dans les années 60 permettant, avec des artistes comme les Who, Jimi Hendrix, Led Zeppelin, Cream, au hard et au metal de naître à travers ses créations. Nous avons par conséquent souhaité donner la parole aux artistes (mais pas seulement) afin de lui rendre hommage. Les réponses ont été immédiates et nombreuses. Nous en attendons d’autres et mettrons à jour cet hommage au fur et à mesure que nous les recevrons.

EDIT 17 avril : Article édité avec l’hommage de Michael Schenker

Cliquez ici pour découvrir ces différents hommages…



Interviews   

NO DIAMOND HEAD, NO METALLICA. NO METALLICA, NO MORE DIAMOND HEAD


« No Diamond Head, No Metallica. No Metallica, No more Diamond Head » is the conclusion admitted by Brian Tatler as being the link between Diamond Head and Metallica. Lars Ulrich has, on numerous occasions, mentionedthe British five-piece as the band without which Metallica wouldn’t exist today. However, Diamond Head never really met universal success. Do you honestly know more songs than « Am I Evil? » or « Helpless »? And who never thought those were Metallica songs? In any case, Brian Tatler is grateful towards them and repeats that many times: « Metallica has given us a leg up to reform. »

But the story of Diamond Head isn’t only interesting because of the glory that has reflected on them from Metallica. Their story is interesting because, as Tatler is himself moved by stories of bands that have struggled, Diamond Head has never been all in first class. And a huge majority of musicians will relate to that story that we’re going to talk about here.

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Interview   

Sans Diamond Head, pas de Metallica. Sans Metallica, plus de Diamond Head


« Sans Diamond Head, pas de Metallica. Sans Metallica, plus de Diamond Head », c’est la conclusion assumée par Brian Tatler du lien entre Metallica et Diamond Head. Car Diamond Head fait partie de ces groupes méconnus que vous êtes le seul à apprécier et à qui vous devez tout. Lars Ulrich a, à de nombreuses reprises, parlé des Anglais comme du groupe sans lequel Metallica n’existerait pas aujourd’hui. Pourtant Diamond Head n’a jamais vraiment percé. Honnêtement, vous connaissez autre chose que « Am I Evil? » ou « Helpless » ? Et qui n’a pas, au début, attribué à tort ces chansons à Metallica ? En tout cas, Brian Tatler est reconnaissant envers eux et le répète à plusieurs reprises : « Metallica nous a donné l’opportunité de nous reformer ».

Mais l’histoire de Diamond Head n’est pas intéressante que pour le reflet de gloire que lui a offert Metallica. Elle l’est parce que, comme Tatler lui même a été touché par le récits de groupes qui ont galéré, Diamond Head n’a jamais connu le luxe. Et une très grande majorité de musiciens se reconnaîtront dans ce parcours que nous allons évoqué ici.

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CR De Festival   

Sonisphere 2011 : compte-rendu de la journée du samedi 9 juillet


La première édition du Sonisphere français vient de se tenir à Amnéville les 8 et 9 juillet. Un véritable événement car pour la première fois de l’Histoire le Big 4 représenté par Metallica, Megadeth, Slayer et Anthrax se produisait en France. Mais durant deux jours ce sont bel et bien vingt artistes (Slipknot, Airbourne, Dream Theater, Gojira, Mastodon, Papa Roach, Loudblast et beaucoup d’autres) qui ont arpenté les planches des scènes Saturn et Apollo. Après des reportages aux Greenfield, Hellfest et Main Square, voici le quatrième volet de nos aventures estivales avec la seconde journée du Sonisphere qui a eu lieu le samedi 9 juillet. NB : le live report de la journée de vendredi est également disponible.

C’est la deuxième année consécutive que le concept du Sonisphere est associé au Big 4, à tel point qu’on pourrait parler de Big 4 Fest. Un concert de Metallica en France, où qu’il soit, c’est déjà vendeur, alors pour un concert de Metallica, Slayer, Megadeth et Anthrax… L’édition française a eu une saveur particulière, Scott Ian (Anthrax) étant absent pour cause d’accouchement (de son épouse, hein !) et Jeff Hanneman (Slayer) étant en pleine mutation pour devenir Spiderman.

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