Dee Snider a indéniablement un côté hyperactif, s’illustrant dans des domaines très divers de l’art et de l’entertainment, depuis l’écriture de films jusqu’à celle d’un roman, en passant par des émissions de radio et une série pour enfants. Dee Snider est un rockeur pas comme les autres, au mode de vie loin de l’image qu’on se fait habituellement (à tort ?) d’une rockstar, à la personnalité à la fois bien trempée et attachante, au bagout éclairé, et aussi toujours prompt à rebondir dans sa carrière. Exemple flagrant : son dernier album solo, For The Love Of Metal, qui lui a offert à soixante-cinq ans une toute nouvelle jeunesse et une place dans la scène contemporaine.
Joint par téléphone, Dee Snider nous parle de ce cycle immortalisé dans un album live sobrement intitulé For The Love Of Metal Live. On parle également de classiques – à l’image du « Highway To Hell » d’AC/DC avec lequel il clôt le set –, de sa nature entêtée, des fausses idées que les gens se font sur lui et de la part enfantine qu’il a toujours su garder en lui.
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