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Interview   

Dee Snider : le heavy comme tribune


C’est l’angoisse de nombreux groupes et artistes dits « historiques » : être ringardisé et se faire balayer par la jeune génération. Un « dégagisme » que le jeune Dee Snider chantait lui-même en 1984, dans la chanson « Stay Hungry » : « Si ton feu s’est estompé et que tu ne peux plus le ressentir, si tu es fatigué et surfait, laisse-moi te montrer la porte de sortie. » Trente-cinq ans plus tard, le chanteur est passé dans le camp des « vieux » et, après avoir mis Twisted Sister à la retraite il y a cinq ans, il s’est forcément posé des questions sur la suite de sa carrière.

Les réponses, il les a trouvées en deux temps. D’abord, avec sa collaboration avec Jamey Jasta qui s’est donné pour mission de prouver que Dee Snider avait sa place sur la scène metal contemporaine. Mission réussie avec un For The Love Of Metal (2018) unanimement salué. Ensuite, en réalisant en cette période troublée qu’il avait plus que jamais des choses à dire et une tribune que peu de gens ont. Il allait donc donner une voix à ceux qui ne peuvent pas se faire entendre.

Ainsi est né Leave A Scar, un album dans la continuité de son prédécesseur, mais avec un peu plus d’influences heavy classiques, histoire de tendre aussi la main aux anciens fans réfractaires au changement. Car après tout, lui-même a connu des réactions de rejet – à l’apparition du death metal, notamment – avant d’embrasser la grande famille du metal telle qu’on la connaît aujourd’hui, dans toute sa diversité. Nous discutons de tout ceci et plus encore avec un Dee Snider toujours aussi agréable et captivant.

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News Express   

CHEMICAL SWEET KID dévoile sa reprise de « We’re Not Gonna Take It » (TWISTED SISTER)


CHEMICAL SWEET KID a sorti son nouveau single, intitulé « We’re Not Gonna Take It », le 9 juillet 2021. En savoir plus …



Interview   

Dee Snider et l’élixir de jouvence


Dee Snider a indéniablement un côté hyperactif, s’illustrant dans des domaines très divers de l’art et de l’entertainment, depuis l’écriture de films jusqu’à celle d’un roman, en passant par des émissions de radio et une série pour enfants. Dee Snider est un rockeur pas comme les autres, au mode de vie loin de l’image qu’on se fait habituellement (à tort ?) d’une rockstar, à la personnalité à la fois bien trempée et attachante, au bagout éclairé, et aussi toujours prompt à rebondir dans sa carrière. Exemple flagrant : son dernier album solo, For The Love Of Metal, qui lui a offert à soixante-cinq ans une toute nouvelle jeunesse et une place dans la scène contemporaine.

Joint par téléphone, Dee Snider nous parle de ce cycle immortalisé dans un album live sobrement intitulé For The Love Of Metal Live. On parle également de classiques – à l’image du « Highway To Hell » d’AC/DC avec lequel il clôt le set –, de sa nature entêtée, des fausses idées que les gens se font sur lui et de la part enfantine qu’il a toujours su garder en lui.

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Interview   

Dee Snider : défi relevé


Dee Snider est insatiable. A peine Twisted Sister jetait définitivement l’éponge, qu’on l’a vu embrayer sans temps mort sur sa carrière solo, la comédie musicale Rocktopia et une multitude d’autres projets dans des domaines créatifs divers (radio, cinéma…). Dee Snider est un homme du présent qui agit et ne se repose pas sur ses lauriers. Et quand Jamey Jasta (Hatebreed) lui lance un défi, celui de créer un album de metal contemporain, il n’a pas fallu s’y reprendre à deux fois avant qu’il n’accepte et honore sa parole. For The Love Of Metal est le résultat, un album à la conception collaborative et orchestré par Jasta et son équipe (les frères Bellmore à la basse, batterie et coproduction), démontrant à quel point celui qui fut une des grandes figures des années 80 est loin d’être un des has-been de 2018, et sa voix puissante et mélodique fait toujours office de référence.

Nous avons joint Dee Snider par téléphone pour nous en parler : de l’importance de Jamey Jasta dans le projet jusqu’au décès de sa mère en pleine conception de l’album, en passant par son amour inconditionnel du metal. Snider parle avec humilité, étant bien conscient que tout peut s’écrouler du jour au lendemain, à l’instar de la traumatisante descente aux enfers qu’il a vécu au début des années 90. Car le chanteur n’hésite pas à se confier et se dévoiler, que ce soit en évoquant l’une de ces « stars laides et horribles » qu’il aurait pu devenir si justement il n’avait pas connu l’échec, son rapport à ses parents quand il était enfant, ou encore sa condition physique qui l’empêche désormais de se donner comme il voudrait sur scène. Un homme passionnant, intelligent et extrêmement amical, comme le démontre sa vision des Français qu’il partage avec nous dans un dernier échange impromptu…

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Interview   

Alcatraz : à taille humaine avant tout


Pour beaucoup de français, Alcatraz reste le nom de la célèbre prison située dans la baie de San Francisco. Pour les amateurs de musique extrême, il est avant tout l’un des festivals les plus connus de Belgique. Créé en 2008 à Deinze et se reposant sur un esprit thrash, le festival a progressé, s’est ouvert et s’est déplacé proche de la frontière française à Coutrai en 2013.

Souvent comparé au Graspop, Alcatraz veut garder la tête froide et attache avant tout de l’importance au confort du festivalier, qu’il soit belge ou français d’ailleurs. La qualité avant la quantité, toujours. La dixième édition du festival mettant à l’honneur Ghost, Korn ou encore Saxon est l’occasion de revenir avec Mattias Vanderschueren, membre de l’organisation du festival, sur le parcours effectué depuis la première occurrence et sur les volontés d’évolution, qui révèlent le bon sens et l’humilité des créateurs.

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Live Report   

Twisted Sister s’en va comme une princesse


Guitare En Scène 2016Il y a un parfum de sauvagerie dans les prestations live de Twisted Sister. Un profond sentiment de liberté s’en dégagent, comme si le groupe américain incarnait à merveille l’énergie folle que peut parfois donner le heavy rock sur scène. Twisted Sister est un groupe mythique et le fait qu’il ait communiqué en amont sur sa retraite, après quatre décennies dédiées à la musique dure, ne peut que donner à ses fans l’impression d’assister à un moment historique au regard des innombrables tubes qu’aura proposé Twisted Sister au cours de sa vaste carrière.

Si beaucoup pensaient que le dernier concert du groupe en France se déroulerait au Hellfest de cette année, c’est en réalité le festival Guitare En Scène, qui a eu lieu du 13 au 17 juillet, qui aura eu le privilège d’accueillir Dee Snider et ses acolytes pour le tout dernier live de Twisted Sister dans l’hexagone. « On ne fera pas comme Scorpions, Judas Priest etc. » dira d’ailleurs sur scène le charismatique frontman, à la langue toujours aussi bien pendue, pour signifier à l’audience qu’il n’y aura plus aucune chance de revoir les Soeurs sur les planches.

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Galerie Photos   

Twisted Sister @ Hellfest, Clisson, France – 18/06/2016




Interview   

Twisted Sister : la retraite à quarante ans


Jay Jay French - Twisted SisterCa y est, c’est la dernière ligne droite pour Twisted Sister qui devrait, à l’issue de la tournée actuelle baptisée Forty And Fuck, raccrocher les gants pour la deuxième fois de son histoire – la première ayant été en janvier 1988, avant que le groupe ne se reforme en novembre 2001 pour un concert de levée de fonds à la suite des attaques sur le World Trade Center de New York, puis de façon plus permanente en 2003.

« L’idée d’arrêter était dans nos esprits depuis de nombreuses années, » nous explique le guitariste Jay Jay French, seul membre à avoir été dans le groupe depuis ses tout débuts en 1972. « Lorsque nous nous sommes reformés en 2003, nous pensions que ça n’allait durer que cinq ans, peut-être. Et maintenant, ça fait quatorze ans ! Ça a duré plus longtemps que nous le pensions. Mais ces dernières années, avant qu[e le batteur] A.J. [Pero] ne meure [le 20 mars 2015], la décision était que cette dernière année serait la toute dernière. Au cours de ma dernière conversation avec lui, j’ai dit à A.J. qu’après l’été dernier, ce serait fini et puis, ironiquement, il est décédé quelques heures plus tard d’une crise cardiaque. Ensuite, environ quatre jours après ça, après ses funérailles, nous nous sommes retrouvés et avons décidé que nous jouerions tous les concerts l’année dernière et que nous décidions plus ou moins d’arrêter. Ma petite amie a dit : ‘Vous devriez juste dire ‘forty and fuck it’ (NDT : quarante ans et puis merde).‘ Parce que c’est ça, c’est le quarantième anniversaire depuis que moi, Eddy [Ojeda] et Dee [Snider] jouons ensemble, donc c’était le bon moment pour dire au revoir. »

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News Express   

TWISTED SISTER : les détails du coffret live Rock ‘N’ Roll Saviors – The Early Years


TWISTED SISTER sort un coffret live, intitulé Rock ‘N’ Roll Saviors – The Early Years, actuellement disponible via Deadline Music. Voir les détails…



News Express   

TWISTED SISTER dévoile une vidéo live pour la chanson « We’re Not Gonna Take It »


TWISTED SISTER dévoile une vidéo live pour la chanson « We’re Not Gonna Take It ». Celle-ci apparaît sur son CD/DVD live, intitulé Metal Meltdown, prévu le 22 juillet prochain. Voir la vidéo…



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