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Interview   

Vandenberg et sa cuisine musicale


La résurrection du groupe Vandenberg en 2020, avec un premier album en trente-cinq ans, en compagnie du chanteur Ronnie Romero, était un petit événement en soi dans le monde du hard rock. Seulement, la sortie du disque en pleine pandémie aura fortement freiné l’élan du groupe : pas de tournée possible. Et pour couronner le tout, pour des raisons de conflit d’emplois du temps, il a fallu qu’ils se séparent de Romero. Retour à la case départ, ou presque. Mais quand on s’appelle Adrian Vandenberg, avec son CV et son talent, on n’a pas de mal à dénicher les meilleurs chanteurs du circuit hard rock. C’est ainsi que le Suédois Mats Levén (Yngwie Malmsteen, Therion, Candlemass, etc.) est venu prendre la relève, lui qui, il se trouve, est fan de longue date et a toujours voulu travailler avec le guitariste.

Voilà donc la nouvelle incarnation de Vandenberg (complété du bassiste Randy van der Elsen et du batteur Koen Herfst), plus prometteuse que jamais et qui s’est déjà consolidée en live dès fin 2021, avant de produire Sin, un album plus heavy mais aussi avec lequel le passé d’Adrian au sein de Whitesnake refait largement surface. Le musicien francophile, ayant autant un amour pour la musique que pour la peinture, la cuisine et le vin, nous parle de tout ceci depuis le Quercy Blanc où il adore se rendre dès qu’il peut.

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Interview   

Ronnie Romero à l’école du classic rock


Ça ne fait que six ans qu’on entend parler de Ronnie Romero, depuis qu’il a sorti le premier album de Lords Of Black, groupe qu’il a fondé avec le guitariste Tony Hernando, et pourtant l’expérience acquise durant ces six années a de quoi impressionner. Appelé par Ritchie Blackmore en 2015 pour remettre le légendaire Rainbow sur les planches, il a ensuite collaboré avec Leo Leoni de Gotthard dans le projet CoreLeoni, a été appelé en renfort par Michael Schenker pour son Michael Schenker Fest et c’est naturellement vers lui que l’ex-Whitesnake Adrian Vandenberg s’est tourné pour remettre sur pied le groupe Vandanberg. Mais il suffit de l’entendre chanter seulement quelques secondes pour comprendre pourquoi tous se l’arrachent : Ronnie Romero est de la trempe des Ronnie James Dio, David Corverdale ou Steve Lee.

Nous avons profité de la sortie de 2020, le nouvel album de Vandenberg, pour comprendre le « phénomène » Ronnie Romero et revenir sur sa courte mais déjà prolifique carrière, qu’il gère à sa façon et qui a explosé depuis qu’il a quitté le Chili pour s’installer en Europe. Il évoque avec nous ses influences, sa relation aux guitaristes emblématiques qu’il a côtoyés et ce que toutes ces expériences ont déjà pu lui apporter.

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Interview   

Adrian dépoussière Vandenberg


Il y a presque quelque chose d’irréel dans le fait de revoir l’iconique logo Vandenberg apposé sur un nouvel album studio en 2020. Il faut dire que la dernière fois où c’est arrivé, c’était en 1983, sur l’album Heading For A Storm – le troisième album, Alibi, qui sonnait le glas du groupe, l’avait déjà abandonné. Mais revoir ce logo en gros, stylisé en metal brillant mais légèrement usé, c’est forcément un signal fort, le gage de retrouver un Vandenberg à la fois marqué par les années d’expérience et respectueux de ses racines.

Il faut dire qu’Adrian Vandenberg ne voulait pas faire les choses à moitié. Certes, le groupe n’a plus rien à voir avec celui qui comprenait en son sein le chanteur Bert Heerink, mais le guitariste, comme il a pu le prouver tout au long de sa carrière, sait s’entourer. C’est du côté du Chilien Ronnie Romero qu’il s’est notamment tourné. Un chanteur élevé à l’école des Ronnie James Dio ou David Coverdale, prisé par les grands guitaristes de rock comme Ritchie Blackmore qui l’a embarqué pour sa reformation de Rainbow, une voix idéale pour donner corps à la vision plus intense et hard qu’Adrian avait pour Vandenberg en 2020.

Dans l’entretien qui suit, le guitariste nous narre en détail les tenants et aboutissants de ce retour près de trente-cinq ans après la fin du Vandenberg originel, justifiant la direction musicale entreprise, donnant les clés pour comprendre qui est Adrian Vandenberg en 2020 et faisant quelques détours sur son passé et celui de son groupe emblématique.

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Interviews   

Moonkings: Adrian Vandenberg is painting a new picture


After almost two decades without hearing a word from him, we had a lot to talk about. Adrian Vandenberg’s trail vanished after the release of Whitesnake’s Restless Heart in 1997 – at least for rock fans. For the Dutchman is a jack of all trades: a guitarist first and foremost, he’s always doubled as a painter (he was behind the artworks for his solo band, Vandenberg, in the 80s, and for Manic Eden in 1994) and is currently considering becoming a sculptor. And when he’s not looking for musical inspiration in his workshop – and vice-versa –, he’s looking for it in the kitchen, cooking French cuisine.

Because now is “the right time”, he’s finally back in music with a new band, Moonkings, made up of unknown musicians. The point was not to create a super-group, but a great group, a band of brothers, who spend the better part of their rehearsals “rolling on the floor laughing” and won’t quarrel over ego matters. Don’t look for ego in the name either: the band is officially called Vandenberg’s Moonkings, but this is a temporary situation, scheduled to change when the band has made a name for itself. The goal is not to capitalize on the leader’s past, particularly with Whitesnake. If the first album features a cover of his former band with David Coverdale, it’s only a matter of friendship.

All these subjects are just the tip of a true iceberg of an interview, where we covered most of his career to this day. A generous talk, like the music Adrian Vandenberg offers with Moonkings.

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Interview   

Moonkings : Adrian Vandenberg entre dans un nouveau tableau


Près de deux décennies passées sans entendre parler de lui, cela donnait beaucoup de choses à discuter. La piste d’Adrian Vandenberg disparaissait en 1997, après la sortie de Restless Heart de Whitesnake, en tout cas pour les fans de rock. Car le Hollandais est un artiste touche-à-tout : le guitariste a toujours été doublé d’un peintre (il est, par exemple l’auteur des pochettes de son groupe solo Vandenberg dans les années 80 et de Manic Eden en 1994), mais se verrait bien aussi prochainement sculpteur. Et quand ce n’est pas dans son atelier qu’il va trouver de l’inspiration pour sa musique (et inversement), c’est aux fourneaux, où il pratique l’art culinaire, avec un penchant pour la cuisine française.

Mais le voilà de retour après tout ce temps, au « bon moment » nous dit-il, pour reprendre la musique, former un nouveau groupe : Moonkings, composé de musiciens inconnus, car pour lui il n’était pas question de former un super-groupe, mais un groupe super, qui plus est une vraie bande de copains qui, pendant les répétitions, passe la moitié du temps « à se rouler par terre de rire », et qui n’éclatera pas sous la pression des égos. Pas question d’égo non plus pour lui : si pour l’heure cela s’appelle Vandenberg’s Moonkings, ce n’est que pour laisser à Moonkings le temps de se faire un nom, pas pour capitaliser sur son passé, notamment avec Whitesnake. Et s’il y a une reprise de son ancien groupe avec David Coverdale sur leur premier album, il n’y a là-dessous qu’une histoire d’amitié.

Tous ces sujets ne sont que la pointe émergente d’un vaste entretien, où l’on revient sur tout le parcours fait jusqu’à ce jour. Une interview, comme le guitariste ou comme la musique proposée par lui et ses MoonKings, généreuse.

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  • Red Hot Chili Peppers @ Lyon
    Queens Of The Stone Age @ Lyon
    Kiss @ Lyon
    Skid Row @ Lyon
    Hollywood Vampires @ Paris
    Depeche Mode @ Lyon
    Scorpions @ Lyon
    Thundermother @ Lyon
    Ghost @ Lyon
    Spiritbox @ Lyon
    Metallica @ Saint-Denis
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