Avec près de trente années de carrière et une discographie pléthorique, Paradise Lost est libre de toutes contraintes liées au métier de musicien. Si ce n’est que dès le début, le groupe anglais cultivait cet état d’esprit : celui de ne pas respecter les courants, de ne pas orienter sa créativité. Entre oeuvres dooms, « gothiques », pop et death : Paradise Lost joue avec les genres.
Revenu en 2015 avec l’acclamé The Plague Within, on pressentait un retour au son de leurs origines, un goût pour la musique violente et néanmoins sensible. Leur nouvel opus, Medusa, durcit le trait. Plus sombre, moins accessible, plus intense. Paradise Lost nous livre un album de death parce qu’il suit simplement son inspiration actuelle et parce que son propos s’y prête. Entretien avec le chanteur Nick Holmes, qui nous prouve que si Paradise Lost ne cultive pas la négativité comme art de vivre, il sait l’illustrer et l’embellir en tant qu’art tout court.
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