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Interview   

Arjen Lucassen’s Supersonic Revolution : les années 70 au goût du jour


Certes, on connaît surtout Arjen Lucassen pour son space opera prog Ayreon ainsi que le plus metal Star One, mais le Néerlandais n’est jamais à court d’idées pour de nouveaux projets. Une nouvelle preuve est faite avec Supersonic Revolution et son premier album Golden Age Of Music. Plus qu’un projet, il s’agit là d’un véritable groupe monté… en vingt minutes pour répondre à une commande de reprise pour la compilation d’un magazine. Une genèse improbable mais signe d’une alchimie qui s’est imposée d’elle-même et d’un groupe « passion ». Et de passion il est effectivement question dans un album dont le concept est ni plus ni moins les années 70, celles qui ont embrasé l’imagination d’Arjen et qui lui ont donné envie de lui-même prendre une guitare et de monter sur scène, comme ses idoles. Mais attention, pas de « revival » ici, mais une modernisation de ce qu’étaient les années 70, à la sauce Lucassen et avec l’aide de musiciens qui ne les ont jamais connues.

Nous discutons de tout ceci avec le maestro qui, bien qu’étant relégué ici au poste de bassiste, reste le maître à penser du projet. Nous revenons évidemment sur cet âge d’or que représentent pour lui les années 70 et ses premiers pas dans la musique, en tant que musicien, mais aussi en tant que simple fan, toujours aussi fasciné par The Sweet, Alice Cooper, Rainbow, Deep Purple, David Bowie et consorts, sans pour autant complètement idéaliser cette époque.

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Vide(o)rdure   

Les métalleux aiment le rose


Eh oui, ras-le-bol des clichés sur les métalleux toujours en noir, d’humeur noire, heureux de vivre dans le noir, avec des chats noirs, dormant dans un lit noir, dans des draps noirs (mince, je me rends compte que je vous raconte ma vie là). Les chevelus aiment aussi le rose. Même pas le rose foncé. Le rose, tout simplement. La preuve : certains écoutent même du Pink Floyd… Mouais, c’est pas une preuve… Et puis, en réalité, les métalleux qui aiment le rose, j’en connais que deux, je ne crois pas qu’on puisse faire des généralités…

Par contre, si on les y force, si on ne leur donne pas le choix et surtout s’ils sont trop fainéants et donc condamnés à s’en contenter, ça peut marcher. Prenez, par exemple, un adolescent, 15 ans, fan de metal (ce qui signifie qu’il aime Metallica, Nirvana et Black Veil Brides, au secours !), donc un peu crétin. Et comme il est un peu crétin, il fait à un moment donné une blague à son grand frère, en lui pourrissant son mur Facebook (oui, ça peut être grave dans certains cas). Une idée de crétin parce que son frère, il a des potes, et avec ses potes, il ne va pas seulement lui pourrir son mur mais toute sa chambre…

Découvrez ça en vidéo.



Interview   

AVENGED SEVENFOLD : L’INTERVIEW CAUCHEMAR



Avenged Sevenfold depuis le 28 décembre 2009 c’est l’histoire d’une tragédie. Une histoire qui a meurtrie des milliers de cœurs en acier. C’est aussi une histoire de mains tendues, de compassion et de soutien. C’est l’histoire d’une bande de potes qui ont voulu honorer un autre pote, tragiquement disparu, en finissant le travail qu’ils avaient commencé tous ensemble. C’est aussi l’histoire d’une idole qui dé cide d’inverser les râles, d’emprunter le siège que son admirateur a laissé vacant, de s’assoir dans son ombre pour, à son tour, admirer.

On dit souvent que de la douleur naissent les chefs-d’œuvres. Même si le terme est fort dans le cas pré sent, force est de constater qu’Avenged Sevenfold a accouché de sa meilleure œuvre, une œuvre à jamais marqué e d’une aura que seule la douleur est capable de créer.

Il y avait tant de sujets que l’on aurait pu aborder avec Zacky Vengeance, guitariste rythmique, fondateur du groupe et surtout ami de James « The Rev » Sullivan. Une interview qui aurait pu être profondément captivante là où il n’a été possible que de survoler un gouffre. En effet, les conditions de notre rencontre avec Zacky furent catastrophiques : report de l’interview de deux heures, puis retard de quinze minutes, une friture abominable sur la ligne, des coupures de communication à trois reprises et un manager qui annonce plus que deux minutes d’entretien après à peine neuf laborieuses minutes. C’est ça aussi, parfois, les grosses machines : un abattoir.

N’ayons pas peur des mots, cet entretien fut un véritable cauchemar. Tiens, ça tombe bien, c’est justement la ligne directrice de l’album d’Avenged Sevenfold : Nightmare. Donc, en fin de compte, on peut dire qu’on a bon !

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