Peut-on encore innover dans le rock, au sens large ? Quand la très grande majorité a abandonné l’idée, certains y croient encore fermement. Pour eux, c’est même une nécessité afin de redonner de la vigueur et une fraîcheur aux musiques dites « dures », que ce soit le metal ou le hardcore. Les Américains de Code Orange sont de ceux qui se sont donné pour mission de renouveler leur genre. Avec leur nouvel album Underneath, on ne peut que reconnaître qu’ils sont sur le point de gagner leur pari.
Certes Code Orange revendique toujours son appartenance à la famille du hardcore, certes les influences – comme celle de Nine Inch Nails – sont discernables et même revendiquées, pourtant il est difficile de définir ce qu’est Code Orange aujourd’hui. Jouant sur l’idée de dualité, conceptuellement comme musicalement, le quintet intègre une nouvelle strate à son art, une complexité sonore inédite, intégrant une dimension électronique moderne qui se mêle avec une facilité étonnante à l’esprit organique de ses racines. La réalité est qu’Underneath est le fruit d’un processus stakhanoviste.
Afin de mieux comprendre ce « monstre » musical que Code Orange libère des profondeurs avec Underneath, nous avons échangé avec le batteur-chanteur, mais également maître d’œuvre et concepteur du projet, Jami Morgan, qui défriche également le fond d’un album où tout est lié, pensé et délibéré.
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