Et si on commençait enfin à envisager Diamond Head comme plus qu’un « groupe qui a influencé Metallica et dont Lars Ulrich était fan » ? Après tout, si le célèbre batteur a tant apprécié le groupe anglais dans ses jeunes années, c’est pour une bonne raison. Et une bonne raison de dépasser cette étiquette qui lui colle à la peau, Diamond Head en offre une belle aujourd’hui : The Coffin Train. Un huitième album, mais le second depuis la renaissance qu’a représentée l’album sans titre de 2016. En trois ans, fort de deux jeunes recrues – le bassiste Dean Ashton et surtout l’impressionnant Rasmus Bom Andersen au chant – lui ayant apporté une énergie, une fraîcheur et un enthousiasme renouvelés, Diamond Head a gagné en assurance pour livrer ce qui s’apparente à la parfaite combinaison de heavy metal classique et moderne.
Avec comme héritage des hits de la trempe d’« Am I Evil? » et débarquant avec un nouvel album d’une telle qualité, la bande à Brian Tatler a aujourd’hui toutes les cartes en main pour largement conquérir le cœur des metalleux. Alors qu’ils s’apprêtent à fêter les quarante ans de Lightning To The Nations, leur premier album, il n’est jamais trop tard pour prendre le train en marche.
Dans l’entretien qui suit Brian Tatler nous parle de The Coffin Train, d’un groupe cumulant désormais fougue de jeunesse et expérience de vétéran, mais aussi de quarante ans de New Wave Of British Heavy Metal, avec son lot d’introspection.
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