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Nouvelles Du Front   

Pryapisme: mais qu’est-ce que c’est que ce truc?!


Non, ce titre n’est pas une question « Allô docteur ». On sait très bien que le priapisme est un truc qui vous donne le zizi tout dur, au point que c’en est gênant, voire carrément douloureux. Non, Pryapisme avec un grand P (et un Y tant qu’à faire) c’est… eh bien, à peu près la même chose : ça devrait vous filer une érection de la zone WTF de votre cerveau d’internaute sans les inconvénients médicaux.

Pryapisme, c’est un groupe. Il s’est fait remarquer des plus curieux en 2010 avec son premier album Rococo Holocauste qui, entre un premier contact avec la pochette la plus classe de l’année (que vous pouvez voir ci-contre, car on ne met pas de photos de chats pour rien chez nous) et une dernière pastille sonore avec le titre d’un autre monde « Cohérence Croquette » qui clôt l’album par une trentaine de secondes de miaulements sur fond musical, nous fait traverser en un peu plus de trois quarts d’heure un concentré de « Nom de Zeus, mais c’est quoi ce truc ?! ». Entre jazz mêlé de pétarades électroniques, basse funky, musette sur fond de blast et metal extrême sur lit de compos électro dignes de vieilles OST vidéoludiques, on voyage dans une mer voisine des délires d’un Mr Bungle ou des assemblages expérimentaux improbables qui tiennent on ne sait comment dont les amateurs de Diablo Swing Orchestra, Sigh ou (pour les plus pointus) Igorrr sont familiers. Mais sans les performances vocales puisque Pryapisme ne fait (à quelques chœurs près) que dans l’instrumental.

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Interviews   

KMFDM: technology, I hate you, I love you


KMFDM is an acronym that represents one of this oldest, more prolific industrial metal bands. This year, the combo led by Sascha Konietzko makes its way without weakening, armed with a new album entitled WTF?! whose quality and variety are exemplary, as usual. Here’s maybe KMFDM’s secret: not caring about trends or rules, and making it through the ages without having any limits while others stumble reaching for them. Actually Sascha himself confesses that he never felt quite comfortable with the “industrial metal” label. All he did was trying to make the music he wanted to.

Unlike what one would think about a band like KMFDM, Sascha admits not being really interested by the current profusion of technology. He’d rather devote himself to the music, especially its creation, than to the more and more sophisticated means of doing it. A sense of priorities that contributes undoubtedly to this unique band’s longevity – almost thirty years!

The band’s mastermind Sascha Konietzko himself tells us everything about this and more, on the eve – literally speaking – of his European tour.

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Interview   

KMFDM : technologie je te hais, technologie je t’adore


KMFDM, un acronyme pour désigner l’un des plus anciens et prolifiques groupes de metal industriel. Cette année la formation menée par Sascha Konietzko trace sa route sans faiblir, fort d’un nouvel album, intitulé WTF?!, toujours aussi exemplaire dans sa qualité que dans la variété. Là est peut-être d’ailleurs le secret KMFDM : faire fi des modes et des règles, traverser les âges sans s’imposer de limite, là où d’autres trébuchent en les atteignant. D’ailleurs Sascha avoue lui même n’avoir jamais été très à l’aise avec l’étiquette de metal industriel. Il n’a en effet jamais fait que chercher à produire la musique telle qu’il l’entendait.

A contre-courant de ce que l’on imagine d’un groupe tel que KMFDM, Sascha s’avoue peu intéressé par la profusion actuelle des technologies. Il préfère en effet consacrer le plus clair de son temps à la musique elle-même, et notamment la création, plutôt qu’aux moyens – chaque jour plus perfectionnés – de la faire. Un sens des priorités qui, à n’en pas douter, contribue également à la longévité – près de trente ans – de ce groupe unique.

Le maître à penser de la formation, Sascha Konietzko lui-même, nous parle de tout ceci et plus encore, à la veille, littéralement, de sa tournée européenne.

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    The Cure @ Paris
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