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Par ailleurs, sachez que les live reports de ce fil rouge seront enrichis quelques jours après le festival et nous vous proposerons également, a posteriori de l’événement, des galeries photos entièrement consacrées aux prestations des artistes.
13h43 : Bonjour à tous et bienvenue dans ce troisième et dernier fil rouge du Motocultor Open Air 2012 proposé par Radio Metal après la première journée et la deuxième d’hier. Et on démarre avec les horaires des séances de dédicaces.
13h45 : Plus les jours passent et moins il y a de monde pour les premiers groupes qui se produisent au Motocultor. En ce troisième et dernier jour, la fatigue du public commence à se faire sentir. Impureza entame donc la journée de façon exotique avec son flamenco metal, mi-death metal mi-guitare classique, pour un mélange intéressant et interpellant. Cependant, si le son est bon et les compos carrées, les musiciens ne semblent pas d’humeur à y mettre toute leur énergie, le concert restant malheureusement assez mou. Par ailleurs, une fois la première surprise passée, la musique laisse assez indifférente : le combo semble avoir un seul tour dans son sac et s’appuie beaucoup là-dessus. Pourtant le death metal est de qualité et bien joué mais cela n’empêchera pas quelques railleries bon enfant de la part du public du genre « arrêtez la variété ! ». Le groupe ne se laisse pas abattre pour autant et finit son set de façon honorable.
C’est gras et ça sent le bitume : Oil Carter est bel et bien présent sur la scène du Motocultor ! Leur stoner croisé hard rock a tapé dans le mille. Malgré une audience encore réduite, le public qui a fait l’effort de venir n’est pas là pour se tourner les pouces. Headbanguant comme un seul homme, les premiers rangs se transforment vite en une crinière bougeant au rythme de la musique. Le set est d’une impressionnante lourdeur et on note un très bon son. Les guitares crachent un son épais, la batterie est martelée avec férocité et hargne pendant que Christophe (chant) est dans une excellente forme vocale. Le groupe offrira également à son public un titre inédit, « Watch Me Away », normalement présent sur le prochain opus du groupe prévu pour 2013. Un concert diablement efficace qui aura incontestablement fédéré. D’ailleurs le chanteur, tout comme le reste du groupe, aura joué avec le sourire du début à la fin. Le frontman exprimera d’ailleurs son plaisir de s’être produit au Motocultor 2012 avec les mots suivants : « Putain, on a passé un putain de bon moment ! ».
14h27 : Tout a très mal commencé pour Collision quand arrivé au troisième titre… celui-ci est la copie conforme du deuxième… lui-même identique au premier. Et pourtant, plus le concert avance et plus l’on se laisse séduire par ce hardcore/grind fichtrement puissant. De leur côté, les deux chanteurs parcourent la scène de long en large en lançant des regards de psychopathes à un public pour le coup réduit au minimum. Même si les compos gardent toutes la même structure, certains passages sont tout simplement accrocheurs à souhait, provoquant quelque hochements de tête d’avant en arrière. Partis dans de bien mauvaises dispositions, on se retrouve à prendre en sympathie ce groupe finalement très appliqué qui aura offert un concert agréable sans pour autant faire l’unanimité.
14h37 : Le Motocultor a tenu à s’exprimer officiellement concernant l’annulation des groupes Ataraxie et Miseducation Of Masses qui a eu lieu lors de la première journée du festival. Voici le communiqué de l’organisation :
« Le Motocultor Festival a dû retarder l’ouverture du festival et annuler deux groupes : nous tenons tout d’abord à nous en excuser et à en expliquer les raisons. Nous avons appris 15 jours avant le début du festival que l’association de secouristes qui devait intervenir au Motocultor Fest ne pouvait plus tenir son engagement. Nous avons tout fait pour trouver une solution mais autour du 15 août il est très difficile de mobiliser des secouristes à la dernière minute.
Grâce à l’appui de la préfecture et de la mairie de Theix, les pompiers ont réussi à mettre en place un dispositif de secours qui nous ont finalement permis d’ouvrir le festival mais avec deux heures de retard malheureusement.
Annuler deux groupes fut un choix douloureux mais inévitable. Nous comprenons la grosse déception d’Ataraxie et de Miseducation Of Masses à qui nous avons proposé de jouer l’année prochaine.
Nous souhaitons remercier les festivaliers et les pompiers pour leur engagement massif cette année auprès du festival.
Yann LE BARAILLEC, directeur – programmateur du Motocultor Festival »
16h33 : Inhume propose un set très linéaire et si Collision, juste avant, avait réussi à accrocher l’attention, Inhume a tendance à tourner en rond. Si le grind n’est pas des plus inspirés, c’est surtout le jeu de scène des Hollandais qui pose souci car rien lors de ce concert n’est assez attirant, ou suffisamment accrocheur, pour capter et maintenir l’intérêt du spectateur/auditeur. Ce dernier a l’impression que les compos s’enchaînent tels les wagons d’un train de marchandise que l’on regarde passer sans beaucoup d’intérêt mais que l’on trouve toujours interminables…
16h42 : David nous fait part d’une info importante : « J’ai un mec devant moi qui a une courgette autour du cou… mais pourquoi faire ?!!! ».
ADX a reçu un bel accueil de la part des festivaliers… et cela est bien mérité ! Ce fut d’ailleurs le premier concert de ces trois jours à avoir employé des effets pyrotechniques. Sur scène, le groupe délivre un spectacle complet et surtout un speed metal de grande qualité avec un son optimal où tous les instruments sont audibles. La bande s’amuse et prend plaisir comme le prouve l’attitude du chanteur qui n’hésite pas à sauter sur son bassiste afin de danser avec lui ! Le public ne s’y trompe pas et scande le nom d’ADX. Ainsi, tout le monde semble heureux de ce moment musical et humain où le frontman parle en toute simplicité avec la foule. Une foule qui demande d’ailleurs de la bière au groupe ! On ne saurait en vouloir à l’audience tant le soleil de Theix est cuisant… Un très bon show d’ADX, plein de joie de vivre et d’authenticité.
A la base, As They Burn n’était « que » le remplaçant d’Exit Ten mais le groupe aura reçu un très bel accueil de la part du Motocultor. Les Parisiens ont proposé un concert d’une violence extrême où wall of death et circle-pits se sont enchaînés sans répit. Malgré quelques soucis de matériel qui préoccupèrent les musiciens en début de set, le concert se terminera sur une note positive devant un public très réceptif. As They Burn n’hésite pas à rappeler au cours de son set qu’il est positif de voir de plus en plus de manifestations metal en France, un signe d’« évolution ». Le show se terminera sur un énième circle pit alors que le combo affiche son plus beau sourire, synonyme de plaisir. Et malgré la chaleur, on aimerait pogoter encore une petite heure de plus sur les compos d’As They Burn. Un groupe version « remontés comme des coucous ». Assurément à voir et à revoir.
16h55 : Claudia nous confie : « Certains ont trouvé un endroit idéal afin d’exprimer leur art : les pictogrammes des toilettes ». La preuve !
19h16 : Audrey Horne a livré un show de grande classe avec une pêche d’enfer. Le frontman Toschie est une pile électrique qui n’est pas sans rappeler Tobias Sammet d’Edguy dans sa manière d’interagir avec les photographes mais aussi par son côté intenable. En effet, le chanteur n’arrête jamais de bouger, terminant le dernier titre dans le pit photo pour serrer des mains dans le public. Ce dernier aura pris plaisir à savourer de supers morceaux rock qui envoient du bois. Des titres originaux dont les mélodies sont typiquement scandinaves. Projet parallèle de Ice Dale (Enslaved), le savoir-faire du groupe sur scène se ressent avec des refrains accrocheurs et des compos de qualité qui auront ce soir été axées sur son dernier album, Audrey Horne, sorti en 2010.
Dans un autre registre, la palme du concept scénique le plus poussé revient à Pervert Asshole qui propose une sorte de version gore de Motörhead. Les panneaux du groupe, surmontées de têtes humaines en décompositions, sont présents sur scène tandis que les membres du groupe – chacun ayant un accoutrement différent – incarnent pour leur part des personnages de scène pour le moins extravagants comme le souligne le look du médecin gore au chant ou celui du luchador à la guitare lead, pour ne citer qu’eux. Pendant le concert, le frontman sortira d’ailleurs divers accessoires tels que des boyaux, un godemiché ou autres. Côté musique, c’est assez simple et cru, à mi-chemin entre un Motörhead et un Rob Zombie agrémenté par de nombreux samples d’orgasmes douloureusement intenses. Si certains membres du public nous confient que tous les morceaux se ressemblent, force est de constater que tout le monde affiche un sourire jusqu’aux oreilles face à cette surenchère sans limites de l’indécence…
21h05 : « C’est la fête du slip dans le pit ! » nous confiait Spaceman au cours du set, en voyant les membres du public s’adonner à faire des files de festivaliers assis à terre et transportant d’autres festivaliers d’un bout à l’autre, faire des circles pits, danser, etc. Et en effet quel énorme moment que ce concert de Beatallica au Motocultor. Pour ceux qui ne connaissent pas le groupe, Beatallica mélange des morceaux des Beatles et de – attention, suspense – Metallica. Pour ce faire, Ils utilisent une combinaison de matériel vintage et relativement moderne (enfin…moderne « années 80 ») pour obtenir un drôle d’anachronisme dans le son, à la fois agressif et thrash tout en étant sec et plein de charme. Ils font de même pour le jeu de guitare, mélangeant des plans et des feelings des deux groupes d’une façon souvent inattendue. Sur scène, c’est avec un charisme ahurissant que Jaymz Lennfield communique avec le public qui, de son côté, fait absolument n’importe quoi pour s’éclater pendant cette prestation. Vêtus de costumes de scène à leur arrivée, et après un quart d’heure de set, Jaymz prendra le micro pour dire « Il y a quelques années on a joué à Lyon et on y a rencontré nos amis de Radio Metal. Donc j’ai décidé de porter mon T-Shirt sur scène aujourd’hui… et ces costumes sont vraiment trop chauds pour ce temps ! ». Il enlève alors sa veste et portera fièrement nos couleurs pendant le reste du concert ! D’ailleurs, comme le disait l’ex-bassiste et dorénavant guitariste du groupe, Kliff McBurtney : « On nous a dit qu’il faisait 35 degrés en France mais on ne s’était pas rendus compte que ce n’était pas du Fahrenheit ! ». Cet unique concert européen de Beatallica, venus des Etats-Unis juste pour le Motocultor, aura été un grand moment : quelle classe !
21h18 : Myrath se sera produit en quatuor ce soir, le claviériste du groupe ayant été retenu pour des raisons administratives. Loin d’être découragé, le groupe offrira un set agréable. La bande, sur scène, est très élégante ce qui, de fait, accapare l’œil. Assez charismatiques sans pour autant être déchaînés, les membres de Myrath assurent le set avec application en mettant en avant une musique qui comporte certaines touches prog’. Zaher Zorgati, le chanteur de la formation, démontre de son côté tout son talent, assurant des lignes vocales loin d’être aisées. La musique orientale de Myrath apporte un aspect sensuel et original au festival. Un show qui se savourera tranquillement avec les derniers rayons de soleil. Allez, un peu de sable et on se serait presque crus sur les bords du Nil ! Le groupe se verra offrir un titre de plus pour le plus grand plaisir des spectateurs qui semblent conquis.
21h51 : Le death metal de Krisiun est brut de décoffrage. Aucune concession dans ce concert que l’on prend en pleine face sans savoir ce qu’il se passe. Pas question d’être calme : Krisun est là pour casser des nuques ! Le bassiste/chanteur Alex Camargo hurle sa hargne alors que le batteur ne lâche pas sa double grosse caisse en débitant des blasts et breaks à toute vitesse. Malheureusement, le son trop fort nuit au rendu de la guitare qui devient difficilement audible. Le guitariste ne cesse d’élancer sa longue crinière dans le vent et assure également des vocaux sauvages. Mais comme dit plus haut, le son trop fort devient vite fatiguant pour les oreilles sans oublier que les blast beat incessants, ainsi que la similitude des riffs, créent une forme de linéarité rythmique. C’est donc avec un sentiment partagé que l’on termine ce concert, ce qui est regrettable quand on considère le départ tonitruant du set.
Par ailleurs, nous discutons avec Yves Campion, le bassiste de Nightmare. Le groupe arrive très content de Suède où il a joué avec Crimson Glory, un combo dont les membres de Nightmare sont fans. Mais du coup la formation arrive fatiguée au Motocultor en ayant très peu dormi. Pourtant, le heavy de Nightmare aura réchauffé le public alors que la nuit tombe sur Theix. Mais malgré un set truffé de titres accrocheurs, le show manque cruellement de spontanéité. En effet les prises de paroles et interactions avec le public semblent un peu trop répétées et calculées. Le jeu de scène, lui aussi, semble quadrillé au millimètre près. Mais il serait injuste d’en tenir rigueur au groupe car la maîtrise et l’efficacité du concert ne sont pas entachées et les sourires des musiciens font plaisir à voir. Le chanteur Jo Amore assure pour sa part une performance vocale solide, alors que les deux guitaristes rivalisent de technicité. Mention particulière au nouveau de la bande, Matt Asselberghs, à la guitare, qui assure vraiment le spectacle avec un festival de grimaces souvent hilarantes. Le show reste donc agréable bien que trop classique par bien des aspects.
23h45 : Nous vous parlions hier soir du concert de Septic Flesh. Eh bien, d’une certaine façon, Behemoth est son grand frère car on y retrouve cette même froideur. La proximité entre les deux groupes se trouve également dans cette ambiance quasi-religeuse mais avec peut-être encore plus de maturité et d’expérience du côté de Behemoth. Et comme le quatuor grec, les polonais se sont ce soir dispensés de la plus part de leurs artifices, y compris l’énorme pied de micro de Nergal, sans que le show n’en pâtisses véritablement. Pendant la prestation du groupe, l’air lui-même devient lourd. Comme si le temps se ralentissait pour nous laisser savourer ce moment qui, pourtant, passe en un clin d’œil. Comme au Hellfest 2012, nous aurons droit à un « c’est bon d’être en vie » de la part de Nergal qui sera l’une des seules fois où il s’adressera au public. Les morceaux s’enchaînent presque sans discontinuer jusqu’aux rappels où le frontman arborera un casque lui donnant une apparence de Dieu mythologique. Après deux morceaux, Behemoth quittera définitivement la scène. Toujours sans un mot. Impressionnant.
Textures offre pour sa part un show d’une grande maîtrise musicale. Atmosphérique (de manière sporadique), brutal et mélodieux sont probablement les adjectifs qualifiant le mieux la musique du groupe. Très progressive, celle-ci n’échappe cependant pas à quelques clichés du style. Les rythmiques syncopées et autres contretemps sont trop souvent prévisibles. De plus, bien que le chanteur n’ait aucun problème de justesse, sa voix – gruntée et claire – a tendance à faire perdre en intensité la musique du combo. Celle-ci donne d’ailleurs un air de déjà entendu, autant par le placement des lignes vocales dans la construction des morceaux que par les mélodies vocales elle-mêmes. En revanche, là où les compositions du dernier album en date, Dualism, avait pu décevoir certains fans, notamment à cause du changement de chanteur et de compositions plus difficiles d’assimilation, force est de constater que Daniël De Jongh reproduit parfaitement les titres de son prédécesseur, tel que l’énorme « Storm Warning » issu du marquant Silhouettes. De manière générale, le groupe est à fond dans son set et observer le bassiste est un régal tant celui-ci apparaît comme un métronome sur pattes, bougeant aux rythmes des compos. Sur un autre sujet, il est dommage que les lights – trop souvent dans des tons bleutés – ne varient pas plus afin d’enrichir la performance scénique. Mais ne soyons pas trop mauvaise langue car, dans tous les cas, la prestation de Textures est un agréable moment musical. D’ailleurs, le public ne sera pas avare en pogos, obéissant sagement aux directives du frontman.
0h03 : Une pétition tourne sur le fest pour faire venir Patrick Sébastien lors du prochain Motocultor. Comme vous pouvez le noter, il est temps que tout le monde aille se coucher du côté de Theix même si nous ne pouvons, bien entendu, que soutenir cette initiative. Par ailleurs, nous vous signalons que Spaceman a observé Nergal de Behemoth en train de faire ses besoins naturels entre deux préfabriqués qui servent de loge et a logiquement regretté de ne pas avoir sorti son appareil photo. On vous l’a dit, il est préférable pour tout le monde que ce Motocultor 2012 cesse !
0h07 : Les membres d’Audrey Horne nous ont confié qu’ils enregistraient un nouvel album. Ils vont rester dans un registre rock entraînant et ont apprécié leur passage au Motocultor, la réaction du public et le soleil !
1h30 : Immortal a achevé dans tous les sens du terme ce Motocultor 2012. Une avalanche de décibels et de tubes se sont abattus sur le fest. « Tyrants », « One By One » ou encore « At The Heart Of Winter » – qui a définitivement retourné la fosse – ont fracassé les corps pourtant fatigués dans des pogos incessants. Immortal a donc frappé fort, et ce malgré des problèmes de son devant la scène où la guitare était noyée par la grosse caisse. Mais ce concert ne s’est jamais essoufflé. Le charisme du groupe est impressionnant et Abbath (chant/guitare) arrive à mettre le public dans sa poche en grimaçant de manière très comique… en tout cas loin du sérieux habituel de nombreux groupes de black. C’est d’ailleurs pendant ce show que l’évidence a pu frapper certaines personnes : Abbath ne peut être que l’inventeur véritable des chorégraphies Crabcore ! Sa gestuelle peut en effet parfois prêter à sourire mais force est de constater que le bonhomme se donne à 200% et le public le lui rend bien. Un très bon show même si l’on déplorera tout de même l’absence très étonnante du hit « Blashyrkh (Mighty Ravendark) ».
Ainsi, c’est au final éreintés que nous quittons l’enceinte du fest, direction le camping afin de dormir, des étoiles plein les yeux. Cette édition du Motocultor 2012 se termine. Nous aurons l’occasion de vous en reparler dans les prochains jours avec différents articles. D’ici-là passez une excellente nuit et n’oubliez pas de ne jamais donner à manger aux photographes de Radio Metal. Merci.
Oh oui Beatallica ! Dire qu’on est parti d’un pote qui faisait du rameur et ç’a enchainé en slam assis. Grosse surprise que ce groupe.
Pour Oil Carter même avis que vous, un groupe qui se faisait plaisir et en a donné un jouant un bon stoner !
myrath, textures, beatallica…quel fest!
en plus leur biere est bonne
immortal ont aussi oublié leur numéro de cracheur de feu…
Bon bah je ne vous ai pas trouvé ^^
Pour moi Behemoth était LE concert sinon Pervert asshole et Krisiun m’ont beaucoup surprit aussi !
Myrath nous a juste collé au sol, c’était de la putain classe!
COLLISION c’est du grind/thrash, pas DU TOUT du Deathcore.
Oui tu as raison, même si le groupe mélange plusieurs sensibilités l’étiquette « hardcore/grind » est sans doute celle qui convient le mieux. On a modifié merci à toi.