Depuis son premier album en 2011, The Soft Moon a parcouru du chemin : avec son post-punk teinté de cold wave, le projet de Luis Vasquez s’est imposé comme l’un des fers de lance de ce revival 80s au côté de groupes comme Lebanon Hanover, Drab Majesty ou She Past Away. Plus de dix ans et quatre albums plus tard, Vasquez a joué sur les scènes du monde entier lors de performances intenses et électriques, notamment en première partie de Depeche Mode et Nine Inch Nails, et élargi sa palette à des tonalités plus variées, mais toujours froides et volontiers industrielles. De quoi lui ouvrir les portes du Roadburn et même celle du Hellfest, à l’affiche duquel il était cette année.
C’est au Roadburn justement, quelques heures avant son concert sur la scène principale, que nous avons retrouvé le multi-instrumentiste pour parler d’Exister, son dernier album en date. À la fois dansant et introspectif, on y retrouve les paroles aux allures de confessions de Vasquez, qui y explore les replis douloureux et les conséquences d’une enfance difficile. Fidèle à sa musique, aussi sincère que réservé, le musicien, église enflammée tatouée sur une main et menotte attachée à l’autre, est revenu avec nous sur ses débuts et les transformations traversées par lui-même et le projet, de la culpabilité et l’auto-détestation à la prise de confiance.
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